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La chronique de Gérard-Georges Lemaire
Chronique d'un bibliomane mélancolique

La chronique
de Gérard-Georges Lemaire
Chronique d'un bibliomane mélancolique

Bonnard, jardins secrets, Olivier Renault, « La petite vermillon », La Table Ronde, 206 p., 8,70 euro

Olivier Renault est déjà l'auteur d'un excellent Rouge Soutine, paru il y a trois ans. Cette biographie de Bonnard (1867-1947) est vraiment remarquable. Elle est écrite avec simplicité, elle est concise, mais ne laisse rien de côté si ce ne sont les anecdotes superfétatoires. Il restitue la figure du peintre tel qu'en lui-même. Son enfance à la campagne, à Fontenay-aux-Roses (c'est difficile à imaginer de nos jours !), sans problèmes particuliers, Son père travaille au ministère de la Guerre et la famille mène une vie paisible dans ce havre de paix champêtre. C'est un bon élève. Il a déjà une passion pour le dessin. Ses vacances, il les passe dans la propriété paternelle dans le Dauphiné. Ce garçon sans histoire est docile puisqu'il accepte la volonté de son père de lui voir faire des études de droits. Il obtient sa licence en 1888. Seulement alors il se consacre à l'art. Il s'inscrit à l'Académie Julian et y rencontre Maurice Denis, Sérusier, Ranson. Comme eux, il pense que l'impressionniste doit être corrigé et dépassé. Au début, il peint un peu à la manière de Corot. Sérusier lui fait découvrir l'oeuvre de Gauguin. Bientôt les Nabis forment un groupe qui part en quête d'une peinture nouvelle. Il expose avec eux et progresse avec lenteur. Tout est chez lui affaire de patience et de réflexion. Il ne s'affirme qu'assez tard et ne connaît le succès bien après ses pairs. L'une des grandes chances de ce moment de sa vie est la création de la Revue blanche. Entre-temps il est entre à l'Ecole des Beaux-arts, mais rate le prix de Rome. Il travaille dans l'administration. En somme, voilà un artiste qui n'a pas une existence exceptionnelle. Ses amitiés avec les peintres qu'il a pu connaître sont là pour donner du relief à ses jours et aussi pour l'encourager à poursuivre son cheminement. En 1900, il est toujours un inconnu ! L'aspect le plus étrange de cet homme et sa relation avec les femmes. Il épouse un de ses modèles, Marthe (il ne découvrira que bien plus tard qu'elle ne se prénommait pas Marthe et qu'elle n'était une orpheline d'origine aristocratique !), et ne tarde pas à avoir des relations suivie avec d'autres femme, comme Renée, qui se suicide quand il se marie. Sa vie amoureuse est aussi secrète que l'élaboration de son oeuvre. Il vend ses premiers tableaux en 1908. La suite de cette aventure, le lecteur pourra la découvrir dans ce livre écrit avec discernement et une belle pénétration de la personnalité de Bonnard.




Gao Xingjian, le goût de l'encre, Michel Draguet, musée d'Ixelles/Hazan, 232 p., 35 euro

Tout le monde connaît l'oeuvre littéraire de Gao Xingjian depuis qu'il a reçu le prix Nobel de littérature en l'an 2000 pour des raisons qui avait plus à faire avec la politique qu'avec les arts et lettres. Mais ceux qui connaissent son oeuvre picturale sont plus rares. Ce volume nous fournit un autre aspect de sa recherche plastique. Sans doute est-il resté toujours très attaché à sa culture d'origine. Mais l'art abstrait qu'il pratique a pu se développer dans une sorte de synthèse de l'esthétique occidentale et de l'esprit oriental. Dans ce fort volume, on peut découvrir sa recherche avec l'encre, qui a longtemps été le médium de la peinture de la Chine ancienne. Il a d'ailleurs opté pour une forme radicale, qui a été celle privilégiée par les peintres zen, qui associaient la calligraphie, art suprême, et la peinture en n'utilisant que le noir, le blanc et le gris, qui est peut-être une façon d'élargir ses possibilités d'expression. Bien que ses créations n'aient pas de « sujets » apparents, l'artiste a d'une part exprimé un élan poétique dont il a largement parlé avec finesse et puis il n'a pas oublié de manifester sa vision personnelle du monde - une vision pour le moins critique. Et cette dernière, bien entendue a beaucoup à voir avec l'évolution paradoxale de la Chine, pays communiste, totalitaire, qui s'est converti au capitalisme libéral à excès. Cela va sans dire, il ne fait ni de la politique, ni ne pré »tend donner des leçons de morale dans ses papiers et ses tableaux. Mais ces pensées les traversent et les nourrissent. Il faut à cet effet signaler qu'il a parfois introduit des objets dans ses compositions abstraites, qui ont une valeur symbolique. En sorte qu'elles nous apparaissent souvent comme des énigmes qui nous obligent à nous interroger, à les regarder de plus près, à tenter de comprendre où elles veulent empoter notre réflexion. Et il est évident que la tension entre ces deux civilisation, cet enchevêtrement de l'Orient et de l'Occident, cette manière de ne jamais rendre les choses manifestes et donc trop évidentes rendent son univers assez mystérieux. Ses commentaires sont très utiles pour nous faire comprendre le but qu'il a pu rechercher et ses intentions qu'il a formulées dans la solitude de son atelier. Ces oeuvres ont beaucoup à nous raconter, mais se délivrent toujours dans un certain ascétisme formel et intellectuel. Et ses « paysages » oniriques d'encre en viennent à devenir des paysages tangibles, qui embrassent en même temps le monde tangible et temporel et le monde intemporel des idées picturales. Ce sont des moments de méditation, de contemplation, mais aussi de remise en cause.




La Vie l'Amour et la Mort le Vie et le Vent, Roger Gilbert-Lecomte, préface d'Antonin Artaud, présenté par Zeno Bianu, « Poésie », Gallimard, 208 p.,

Voici un poète qu'on ne lit pas beaucoup et qu'on ne considère plus que pour le rôle qu'il a joué dans Le Grand Jeu en rupture avec le surréalisme. Dans la préface qu'il a écrite en 1934, antonin Artaud fait l'éloge de ce qui est si différent dans sa poésie, qui est tournée vers l'Orient et qu'il regarde comme une “carte du ciel interne”. Sans doute exagère-t-il la dimension « transcendantale » de ses écrits, comme le fait à son tour Zéno Bianu. Mais ce dernier corrige cette optique en mettant l'accent sur l'esprit de révolte qui l'a dominé. Quand on lit ses poèmes, on est frappé par des images fulgurantes, qui ont souvent la force condensée des haïkus. Je lis par exemple « Dans les frontières de l'amour » ces deux vers splendides : « Entre les lèvres du baiser / La vitre de la solitude ». Parfois emphatique et d'un mysticisme un peu accablant, Roger Gilbert-Lecomte se révèle néanmoins un créateur d'images saisissantes. Je songe en particulier à ses petits textes en prose, tel que « Dancing » ou dans les fantaisies drolatiques de « La Vie ». En somme, cet homme curieux me paraît avoir été meilleur quand il touchait terre que quand il décrivait des espaces sidéraux dignes de William Blake. Je tiens enfin à signaler aux courts essais qu'il a consacrés au grand peintre tchèque Joseph Sima, dont « L'Enigme de la face ». Voilà une belle approche de son oeuvre. Il est à regretter qu'il ne soit pas aller plus loin dans ce type de “lecture“ des compositions picturales.




Utopie sauvage, Darcy Ribeiro traduit du portugais (Brésil) par Ana de Alencar, « L'Imaginaire », Gallimard, 196 p., 8,90 euro

Darcy Ribeiro (1922-1953), nous présente un homme, Gasparino Carvalhal, qui est un sous-officier de l'armée brésilienne pendant la guerre de Guyane, qui perd son unité er se retrouve par un étrange tour du destin dans un monde exclusivement composé de femmes. Il y est bien accueilli et y devient le géniteur universel de ces Amazones qui se sont définitivement débarrassées de la gent masculine. Il nous dépeint leurs moeurs et nous montrent que ce sont des guerrières farouches, mais aussi des organisatrices hors pair de leur société. Il parvient à s'échapper et, cette fois, il tombe sur une tribu d'Amérindiens, les Galibis, où il est appelé Zoreilles. Les nonnes, qui le regardent d'un mauvais oeil, ont commencé leur travail de conversion de ces « sauvages », Puis il entre en possession d'un document secret, qui dépeint un monde utopique où régnerait l'Empereur immaculé. Il fait en réalité une parodie d'une drôlerie irrésistible de toutes les théories radicales d'une réorganisation absolue de la société, avec ses schémas et ses classifications délirantes. Au fil de ses tribulations, comme le bon Gulliver, Gasparino nous fait découvrir plusieurs facettes de l'histoire du Brésil, qui a une part de vérité, mais qui est essentiellement mythique. C'est un roman qui mérite de figurer à côté du Micromégas de Voltaire et des oeuvres de Swift. Il ne se contente pas de peindre tout ce que son vaste pays a pu inspirer comme folie politique et économique, ni de montrer comment on a pu percevoir les indigènes dans les régions les plus reculées et leurs étranges modes de vie, leur rites et leurs coutumes, mais le met en scène comme le creuset d'un imaginaire débridé et baroque.




Sao Bernardo, Graciliano Ramos, traduit du portugais (Brésil) par Geneviève Leibrich, « L'Imaginaire », Gallimard, 196 p., 8,90 euro

Le premier chapitre de ce roman de Graciliano Ramos (1892-1953) mériterait d'être inclus dans une anthologie de la littérature moderne : l'auteur, qui n'est autre que le héros de cette histoire a l'idée d'écrire un roman. Mais il ne veut pas le faire seul : il a l'intention de demander à ses amis de collaborer à cette entreprise, du directeur d'un grand journal jusqu'au père Silvestre. Mais tous se défilent. Alors il doit se débrouiller seul. Son héros est un homme pauvre et ignorant, un orphelin, qui tente sa chance pour sortir de la misère en employant des moyens assez contestables. Un beau jour, il s'avise de prendre possession d'une grande exploitation agricole, une bonne fazenda, en grande partie abandonnée qui s'appelle Sao Bernardo. Il parvient à ses fins en employant des méthodes aussi malhonnêtes que détestables. Il rencontre de nombreux obstacles sur son chemin. Mais il trouve toujours une solution. Puis il songe à se marier, car s'il devenait un riche propriétaire agricole, il devait se marier et avoir une descendance. Il part donc en chasse d'une jeune fille qu'il pourrait épouser. Ses démarches ne sont pas toujours couronnées de succès. Un beau jour, il rencontre une vieille dame, Dona Glòria, avec qui il sympathise. Celle-ci lui parle de sa nièce qui est institutrice. A l'arrivée il lui présente Madalena, qui lui fait une très bonne impression. Il finit par épouser la maîtresse d'école qui s'est éprise de lui. Il est étonné par le dévouement et la bonté que démontre sa conjointe Mais lui, bien qu'il soit arrivé à ses fins, est comme une âme en peine. Il est malheureux avec toutes ces personnes qui forment son entourage quotidien. Il se conduit comme une brute avec tout le monde et surtout avec Madalena car il est d'une jalousie maladie. Il trouve une lettre de sa main et croit qu'elle est destinée à un autre homme. C'était en ré »alité une lettre d'adieu. Elle s'est alors suicidée. Les affaires commencent à aller mal alors que la révolution éclate un peu partout dans le pays. Alors lui retourne l'idée de faire ce livre, qu'il avait abandonné pour raconter sa triste vie.




Oreiller d'herbes, Natsumé Sôseki, traduit du japonais par Ryôji Nakamura & René de Ceccatty, Rivages poche, 224 p., 7,50 euro

Comme les écrivains de sa génération, Natsumé Sôseki (1867-1916), se retrouve à une croisée des chemins : l'influence occidentale se fait sentir dans les lettres de son pays, alors que le pays se modernise avec une grande rapidité. C'est d'ailleurs de cela dont il parle dans ce livre merveilleux. Le peintre et poète qui est parti dans les montagnes pour trouver son inspiration, fait souvent allusion à la peinture européenne et conclue, par exemple, que le paysage d'un artiste de l'Ancien Continent ne pourrait pas être adopté par un peintre comme lui. Et il est de même pour la littérature, qu'il interprète d'une manière aux antipodes de ce que nous concevons. Quand il songe à Tristram Shandy de Laurence Sterne, il ne s'étonne pas des dilations ou des rétrécissements du temps, qui sont les phénomènes les plus curieux de ce grand ouvrage, mais à l'idée que Dieu a voulu qu'il compose ce livre et le laisse ensuite aller à son gré. Ces comparaisons ponctuent le cheminement de cet artiste solitaire, qui fait des rencontres curieuses et voit des paysages superbes, qui ne parviennent pas à lui donner une seule idée de tableau. De jour en jour, il se promène, écrit des poèmes, mais ne peint pas. Mais il réfléchi à qui constitue l'essence de son art et aux pièges qu'il doit éviter. Il est aussi aux prises avec les assiduités de la jeune aubergistes, qui les habitants de la région pense un peu folle. Les légendes locales et la personnalité de la jeune femme, Nami, se confondent. Ainsi nous fait-il éprouver les valeurs qui peuvent dominer un créateur qui pressent la fin de son monde : la sensibilité et les sentiments vont changer, tout comme l'esprit de l'expression artistique. Pour terminer sur une note pleine de malice, notre héros a enfin une idée d'oeuvre quand il se retrouve dans le train qui le ramène chez lui à Tokyo ! D'une certaine façon, ce livre est un manifeste nostalgique en faveur d'une culture en train de s'estomper. Mais qu'on n'y voit pas là la tristesse d'un esprit réactionnaire s'attachant à des valeurs révolues, mais plutôt un auteur qui se demande comment on pourra concilier deux civilisations aussi opposées. C'est une splendeur, narrée avec beaucoup d'humour et avec un sens remarquable des visées esthétiques que poursuit le poète ou le peintre. Des visées désormais presque hors de portée.




Sur le plaisir, Epicure, traduit du grec ancien et préfacé par Nicolas Wacquet, Editions Rivages, 176 p., 7,10 euro

Il faut rendre grâce au préfacier de dissiper toutes sortes d'idées reçues (et mal reçues) sur l'épicurisme. L'Ecole qu'a créée Epicure (341-270 avant notre ère) à Athènes n'a pas été un lieu où cultiver ce qu'on a appelé par la suite l'hédonisme ! Le plaisir, qui est central dans sa philosophie, possède une dimension éthique, qui répond à une conception de la vertu. Il imagine bien un « jardin des plaisirs «  qu'on va retrouver dans l'esprit courtois du Moyen Age et ensuite dans l'abbaye de Thélème chez Rabelais, mais la vie bienheureuse à laquelle il aspire est marquée par l'application d'une philosophie dont l'objet est d'éloigner toutes les maladies inhérentes à l'âme et au corps, comme la peur des dieux (il est très hostile à l'introduction des mythes dans la philosophie) ou de la mort. Il s'agit donc plus d'une vision de l'existence dont la finalité est le bonheur et non une apologie des délectations sensuelles. D'autre part, Epicure a été le précurseur de la théorie de l'atome développée plus tard par Lucrèce. Il est convaincu que l'image qu'on a des choses tangibles est la conséquence de la réception d'un flux de pellicules matérielles très subtiles dans leur perception. Il donne ainsi l'idée d'empreintes ou encore de simulacres que les objets matériels nous donnent et que nous enregistrons avec leurs propriétés et leurs spécificités. Il envisage enfin une communauté qui appliquerait des règles permettant de partager des valeurs et de comprendre la société comme un bien commun. Cette édition rassemble les textes les plus significatifs de penseur mais aussi sa biographie écrite par Diogène Laërce, qui nous éclaire sur sa quête de la vérité et sur le cheminement intellectuel que l'être doit mener pour parvenir à un équilibre intérieur et un commerce constructif avec les autres.



L'Echo d'un visage, Marc Rombaut, Le Nouvel Athanor, 30 p., 8 euro

Ces dernières années, Marc Rombaut s'est consacré au roman. A tel point qu'on en est venu à oublier qu'il est aussi un poète ! Ce long poème, qui est son « Cantique des cantiques » sous une forme très intériorisée et très subtile, un grand chant d'amour qu'il adressée à l'Aimée en scrutant son visage, qu'il perçoit aussi bien dans un nuage que dans la luminosité de l'aube, comme un viatique qui lui permettrait d'échapper aux laideurs mondaines et aux hantises de la nuit profonde et dangereuse de l'esprit. Il a composé ce texte avec une grande simplicité, sans jeux rhétoriques, sans exercices formels savants, sans succomber aux modes de la poésie actuelle (mais certainement pas contre elle - il avait besoin de cette pureté dans la langue pour parvenir à restituer ce qui s'était formulé en lui et qu'il a traduit par des mots). Marc Rombaut ne joue ni à singer Rimbaud, ni à pasticher Mallarmé. Il est plus proche des traditions orales qu'il a beaucoup aimé, où il s'agit de restituer le réel et même l'imaginaire de manière sensible et belle à entendre. Ce visage, il ne nous le dépeint pas. Il nous fait savoir qu'il est toujours omniprésent et toujours fuyant. Il en fait un idéal qui est à la fois à portée de main et inaccessible, comme le sont les sentiments les plus forts, les amours les plus dévorants, les émotions les plus bouleversantes. Il sait nous enchanter par ses propres enchantements tout en nous faisant éprouver, de loin, ses douleurs et ses peines. Mais c'est l'émerveillement de cet écho qui demeure le premier objet de son désir.
Gérard-Georges Lemaire
26-03-2015
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