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actualités des expositions
Rayures dans la mer, tâches dans la savane : atelier créatif de Laura Mertz
Samedi 29 février du 15h au 17h
Atelier créatif + goûter à Coutume (12€)
ANOMAL
Quentin Garel
et RENCONTRES DE BAMAKO
exposition photo
MuséOthérapie, l’Art de se sentir bien !
Conférence Samedi 8 février à 15h :
« Art détox »
Estelle d’Almeida, chef de pr...
Ariane Loze - Une et la même
Fabien Tabur présente Buisson Ardent
ERWIN WURM Photographs
GROUP SHOW :
Féminin
antoine poupel
GROUP SHOW : 1970-1990, Regards sur la création havraise
Jusqu’au 22 février 2020
vladimir skoda
GROUP SHOW : L’œil et la nuit
elissa marchal
SOLO SHOW : Horizons
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[verso-hebdo]
18-04-2024
La chronique de Pierre Corcos À propos d'une collection d'art brut La chronique de Gérard-Georges Lemaire Chronique d'un bibliomane mélancolique
La lettre hebdomadaire de Jean-Luc Chalumeau |
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Nathalie Du Pasquier au Palais de Tokyo |
L'exposition a pour titre Futur, ancien, fugitif, une scène française. Elle dure jusqu'au 5 janvier 2020 au Palais de Tokyo, réunissant 44 artistes ou collectifs « dans les marges ou à l'abri du marché ». Excellente initiative : il est précisé que « les artistes invités ont en partage d'opposer des formes de résistance aux assignations et autres effets de mode qui teintent irrémédiablement une époque. » Il me semble que, parmi ces 44 artistes, Nathalie Du Pasquier correspond parfaitement à cette définition. Décrivons une installation-type de cette créatrice-résistante. De part et d'autre d'une porte ouverte, on voit une sorte de bibliothèque dont les quatre étages sont garnis d'objets en trois dimensions tels que bouteille, entonnoir ou bidon et de formes géométriques abstraites comme des cubes ou des parallélépipèdes. Tous ces éléments sont peints de couleurs uniformes franches subtilement alternées. Autrefois, Nathalie Du Pasquier construisait des maquettes pour ses peintures à l'aide d'objets usuels. Maintenant, elle prépare des éléments de bois qu'elle peint et organise jusqu'à trouver la composition satisfaisante. Ces constructions sont progressivement devenues de plus en plus complexes, jusqu'à exister indépendamment des peintures. Les oeuvres de Nathalie sont nommées par elle des ensembles, et elle fournit une définition précise de ce mot : « Collection d'éléments, en nombre fini ou infini, susceptibles de posséder certaines propriétés (notamment dont le critère d'appartenance à cette collection est sans ambiguïté), et d'avoir entre eux, ou avec des éléments d'autres ensembles, certaines relations. »
Voilà qui est contradictoirement à la fois fort précis et tout à fait vague. En tout cas le charme évident des oeuvres et l'indécision de leur définition invitent à y aller voir de plus près. Cette ancienne co-fondatrice du groupe Memphis en compagnie d'Ettore Sottsass, qui dessina beaucoup de motifs pour des textiles, tapis et meubles, entretient-elle encore des relations plus ou moins traditionnelles avec l'esprit décoratif, ou s'agit-il d'autre chose, en l'occurrence d'une recherche originale sur les rapports entre l'objet esthétique et l'objet usuel ? La différence entre les objets usuels et ceux que nous présente Nathalie Du Pasquier tient à l'absence de présence humaine dans les premiers et à l'intense personnalisation des seconds. Dans l'objet usuel, la forme dit qu'il est fabriqué, mais ne dit rien du fabricant. Or l'objet esthétique conçu par l'artiste n'explique rien quant à lui, mais il montre l'auteur. D'ailleurs, il arrive à Nathalie Du Pasquier de rompre toute relation formelle avec le monde des objets usuels : White Cabin n°2, par exemple, nous apparaît comme un objet qui ne nous parle que de lui-même en même temps qu'il nous instruit de l'auteur. Dans ses ruptures de proportions, dans l'inimitable et facétieux agencement des formes qui le composent (et qui constituent un « ensemble ») nous reconnaissons l'univers spécifique de l'artiste avec, en particulier, sa manière si profondément originale d'introduire de l'humour dans l'agencement de modules géométriques simples. En un mot, il s'agit de son style. Et c'est ce style qui fait qu'il y a ici de l'art. Un art qui nous touche.
www.nathaliedupasquier.com
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Verso n°136
L'artiste du mois : Marko Velk
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Elena Santoro
par Gérard-Georges Lemaire
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Griffures : Luisa Pinesi joue
entre surface et profondeurs
par Gérard-Georges Lemaire
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Rencontres au café Tortona avec Ariel Soule
par Gérard-Georges Lemaire
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Le fil rouge d'Akane Kirimura
par Gérard-Georges Lemaire
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Pierre Delcourt
en quête d'un absolu du visible
par Gérard-Georges Lemaire
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Stefano Soddu,
entre diverses dimensions
par Gérard-Georges Lemaire
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Une expédition picturale à Cythère
en compagnie d'olivier de Champris
par Gérard-Georges Lemaire
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Dans l'atelier de Hans Bouman
par Gérard-Georges Lemaire
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John Giorno : William Burroughs
tel que je l’ai connu.
par Gérard-Georges Lemaire
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Giampiero Podestà, ou l'origine d'un monde
par Gérard-Georges Lemaire
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[idées]
Takis: Contemporary Poet of Heaven and Earth
by Megakles Rogakos, MA MA PhD |
Sur les pas d’Adalberto Borioli
par Gérard-Georges Lemaire
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Marilena Vita,
entre mythe et onirisme
par Gérard-Georges Lemaire
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Le regard photographique
de Marie Maurel de Maille
par Gérard-Georges Lemaire
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Santiago Arranz,
l'ami intime des écrivains
par Gérard-Georges Lemaire
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[idées]
George Koumouros
"Portrait Landscapes"
Exhibition curated
by Megakles Rogakos
PRESS RELEASE |
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