Dossier Andrée Philippot-Mathieu : L’identité, de l’intime au collectif
Dossier Andrée Philippot-Mathieu
L’identité, de l’intime au collectif
par Andrée Philippot-Mathieu

CITYSCAPES
Les paysages urbains dans leur complexité, leur diversité. Les grandes cités mêlant les traces de leur histoire à une architecture moderne toujours en développement. Les villes dans leur perpétuelle mutation, immeubles en construction interpellant quelques autres, érigés en signaux intemporels. La mise en évidence d’une architecture moderne venant fragmenter les vestiges du passé, Une organisation citadine déposée en couches successives au fil du temps.
Photos de 140/185 cm sous plexiglas.

URBAN LINES
Les lignes architecturales mêlées à celles des infrastructures urbaines ou à celles, plus éphémères, de tout ce que la société produit pour son organisation et son développement, montrées comme un tissage architectural lumineux et magnifié.
Photos de 140/185 cm sous plexiglas.

WASTE LANDS
Les zones frontières, coincées entre deux cultures, deux architectures, celles de la ville et celles de la banlieue. Des lieux hésitant entre passé en déliquescence et avenir incertain. Lieux de tous les replis ou de tous les possibles.
Photos de 140/185 cm sous plexiglas.

Dans ces quatre dernières séries, un procédé de manipulations numériques différent de celui utilisé dans les séries  Like Paintings ,  Représentations, Perception , ou Identity’s Portraits fait référence à la peinture et à la sculpture.
Telle une matière rendue picturale par la couleur ou sculpturale par le relief apporté, des faisceaux de couleurs lumineuses amènent la réalité de l’architecture des sujets à devenir abstraite et donc insolite aux yeux du regardeur. Dans ce jeu de la mise en évidence de signaux et de leur transformation, ces photographies déroutent la perception et poussent à s’interroger sur l’image initiale qui nous sert de référence.

Andrée Philippot-Mathieu

mis en ligne le 11/05/2010
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