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La chronique de Gérard-Georges Lemaire
Chronique d'un bibliomane mélancolique

La chronique
de Gérard-Georges Lemaire
Chronique d'un bibliomane mélancolique

Le Goût de l'écriture, Laurence Blava, « Le Petit Mercure », Mercure de France, 126 p., 8,50 euro.

Il est rare qu'un écrivain n'ait jamais éprouvé le besoin de méditer sur son écriture et de faire partager ses réflexions avec ses lecteurs. L'écriture n'est pas un don, ce n'est pas non plus une disposition naturelle. C'est une quête du monde et, bien entendu, de soi-même. Et c'est aussi une question de maîtrise du langage et de ses formes. Quand ce problème me vient à l'esprit, je songe à Eugène Delacroix, quand il a rédigé son journal. Cela été pour lui un long et pénible travail de révision incessante de son texte. On peut observer ce labeur dans l'édition qui a été faite assez récemment chez Gallimard de son voyage en Afrique du Nord où ont été reproduits les pages de son carnet et la mise en forme définitive : il y a un abîme entre les deux. Les considérations émises par ces auteurs sont souvent surprenantes et mêmes déconcertantes. Mais elles font partie de cette étrange relation que l'individu entretient avec ce qui le pousse à composer de la poésie ou alors de tisser la trame d'un roman. Il n'est pas étonnant que l'auteur de cette compilation commence par un fragment d'essai de Roland Barthes, qui stipule que la « langue est un corps de prescriptions ». C'est vrai, mais cela mérite sans doute d'être un peu corrigé car il y a une histoire de la langue et aussi le désir de l'auteur de l'orienter d'une certaine façon. Même si l'on peut dire comme lui que c'est un « objets sociale », mais qui se singularise par son usage particulier, en somme, par le style.
La réflexion de Maurice Merleau-Ponty est assez curieuse car il est persuadé que dans son domaine (la philosophie), les mots sont inutiles car tout est déjà prononcé dans le silence de la pensée. Il développe alors l'idée d'un langage des coïncidences, « une manière de faire parler les choses mêmes ». Georges Pérec ne pouvait manquer d'être présent dans cet ensemble de spéculations qui s'applique d'abord au langage et qui, par ricochet, concerne l'écriture. Quant à Pierre Bergounioux, il insiste sur le fait que l'écriture trouve encore de nos jours ses fondements dans un passé lointain, celui de la préhistoire. La première partie de l'ouvrage se termine avec la définition de l'imprimerie donnée dans l'Encyclopédie. En somme, si l'on veut comprendre l'écriture, il convient de s'interroger sur la langue, le langage, le style et aussi sur tous les aspects matériels qui ont conduit au livre moderne. Je pense que c'est là un cheminement erroné. Il y a deux façons d'envisager l'écriture, celle qui est le propre, et l'autre qui est le figuré (le travail de l'écriture au-delà de ses codes essentiels et matériels). La partie suivante, qui a trait à la recherche du romancier, est bien plus pertinente.
L'auteur cite à juste titre Nicolas Boileau qui souligne qu'écrire c'est apprendre à penser et que le style est une méthode pour affiner cette pensée. Platon nous renvoie au dieu Thot des Egyptiens anciens qui a fait de l'écriture le moyen de conserver la mémoire des idées (à l'encontre de Socrate qui réfutait tout recours à l'écrit). Le Traité de style de Louis Aragon, préconise un mode d'écriture nouveau et en rupture avec la tradition, qui a été lors de sa parution en 1928, le prétexte d'une dispute entre gens de lettres. Reste une question cruciale : pourquoi écrire ? On pourra puiser dans l'oeuvre de Julien Gracq, dans celle de Margueritte Duras ou encore celle de Sartre, de Francis Ponge. Chaque écrivain a sa vision la question. Je suis amené à croire que cette anthologie aurait eu plus de poids si elle s'était limitée à cette interrogation.




Juifs d'Orient, une histoire plurimillénaire, sous la direction de Benjamin Stora, Editions Gallimard / Institut du Monde Arabe, 208 p., 29 euro.

Je me souviens des accords d'Evian et de la fin de la guerre d'Algérie. Près d'un million de Français ont quitté ce pays arraché à l'Empire Ottoman en 1830 pour gagner la métropole. Parmi eux, de nombreux juifs, car ils avaient été naturalisés français. Cette affaire compliquée a commencé sous le Second Empire et c'est le ministre Adolphe Crémieux qui en a été l'instigateur. Mais il a échoué dans son entreprise tant que Napoléon III était au pouvoir. Cette loi a été rapidement votée dès qu'a été instituée la République, dès 1870. Ce qui avait pu paraître un geste généreux s'est transformé en une catastrophe : la majorité de ces Juifs n'avaient jamais connu la France et avaient leurs origines dans cette terre bien avant la colonisation arabe et puis turque. Ce que nous apprenons grâce à cette exposition et à ce catalogue est l'art juif avant la destruction du second Temple de Jérusalem en 70, est essentiellement abstrait.
Quelques éléments figuratifs vont peu à peu faire leur apparition comme la menorah, le cédrat, la palme, la corne de bélier, etc.. Mais cela s'est limité à quelques symboles. Cependant, comme le monde les décorations de la seconde synagogue de Doura Europos, au milieu du IIIe siècle, était entièrement décorée de scènes biblique. Dieu était figuré par une main sortant d'un nuage. L'iconoclastie très répandue dans le monde hébraïque n'est sévèrement appliquée qu'à partir du VIe siècle. Là encore, avec pas mal d'exceptions. Depuis le IIIe siècle, dans tout le pourtour méditerranéen, les façades des synagogues sont ornées d'épis de blé, de grenades de raisins, mais aussi d'aigles, de lions en plus des rosaces. Les symboles du mobilier du Temple sont reproduits sur les pavements en céramique ou gravés dans la pierre. Ils peuvent parfois être accompagnés d'une scène biblique. Bien sûr, l'hexagramme (stylisation du lis à six pétales) est souvent représenté sur les façades.
Tous ces éléments sont présents dans les manuscrits hébreux à partir du Xe siècle.
Quoi qu'il en soit, des communautés juive sont présentes partout dans l'Empire roman à l'époque de Trajan, de Tanger à Thessalonique, de Gaza à Lyon, et sur tout le pourtour de la mer Noire. L'invasion des forces islamiques n'entraînent pas au début des modifications profondes. Ce n'est qu'à l'époque où est rédigé le Coran prophétique au cours du IXe et du Xe siècle que les choses commencent à changer. Toutefois, les Juifs sont protégés, relativement, mais en ayant un statut secondaire. La conquête de l'Espagne au cours du VIIIe siècle et la création d'el-Andalus ne change rien de fondamental. Mais l'apparition de mouvements intégristes, comme celui des Almoravides au XIIe et XIIIe siècle, engendre un exode des Juifs d'Espagne. C'est à cette époque que vit le célèbre penseur Maïmonide, exilé d'abord au Maroc, puis en Egypte, qui a été le grand réformateur de la pensée hébraïque et qui non seulement à rétabli les Lois tombées en désuétude, mais a aussi voulu en instituer d'autres. Il a été l'auteur du Guide des égarés. Ce catalogue nous entraîne ensuite dans l'univers des Juifs du Maroc médiéval.
Un nouveau grand chapitre s'ouvre avec l'expulsion des Juifs d'Espagne (1492), de Naples et de la Sicile (1494) et du Portugal (1495-1496) : la diaspora juive autour de la Méditerranée connaît alors une transformation importante (il y a entre 100 000 et 200 000 personnes qui doivent partir). Les uns vont à Livourne, où le grand-duc de Toscane les fait venir pour développer le commerce portuaire, les autres vont à Istanbul, à la demande du sultan, mais aussi Anvers, Amsterdam et en Afrique du Nord. Cette émigration massive fait naître le monde séfarade, qui a sa langue (le ladino, je judéo-espagnol, l'haketiya au Maroc) et se forge de nouvelles coutumes en fonction des lieux où les familles peuvent s'installer. Des différences se font jour logiquement d'une communauté à l'autre. De nouvelles tendances religieuses sont aussi développées au gré de ces déplacements : Sabbataï Tsevi se proclame messie vers 1650. Le courant messianique juif est assez important jusqu'à temps que le fondamentalisme musulman s'affirme dans tout l'Empire ottoman au milieu du milieu du XVIIe siècle. Le judaïsme demeure dès lors traditionnel et relativement discret.
L'exposition fait découvrir la spécificité de cette culture nouvelle qui véhicule une tradition puissante mais aussi des conceptions nouvelles. Une partie de cet ouvrage est consacré à l'émancipation qui a lieu au cours du XIXe siècle, surtout en Europe. Les transformations réalisées tout autour de la Méditerranée ont souvent des causes européennes : par exemple, le percement du canal de Suez, le recul de l'Empire ottoman, la colonisation des Indes, etc. Le droit communautaire évolue considérablement. Une administration consistorial se met en place dans les colonies françaises. Michel Abitbol nous fait découvrir la vie et l'organisation sociales des Juifs de l'Afrique du Nord devenue totalement française. On découvre aussi dans cette partie les synagogues d'Orient du Marco jusqu'au centre de l'Asie islamisée, la mode en vigueur dans ce microcosme, les Juifs du Sahara ou les femmes juives dans la peinture française (chez Théodore Chassériau, chez Edouard Moyse, mais ce chapitre fait l'impasse sur Eugène Delacroix, ce qui est peu croyable !)
Ce long voyage nous amène jusqu'à la création d'Israël, en passant par des moments consacrés à la joaillerie ou à la cuisine. C'est passionnant d'un bout à l'autre. L'exposition dure jusqu'au 13 mars à l'IMA de Paris. Si vous ne pouvez pas la v visiter procurez-vous ce catalogue qui vous apprendra beaucoup sur le monde juif qui s'est éloigné par les raisons troubles de l'histoire des Juifs l'Europe septentrionale, centrale et orientale.




Les Cahiers de Tinbad, n°12, 128 p., 16 euro.

Contrairement à ce qu'on aurait pu croire, les revues et même les livres n'ont pas été balayés en France pour les flux électroniques comme Le Monde s'est tant plu à le prophétiser il y a une dizaine d'années. La Révolution électronique annoncée par William S. Burroughs a bien eu lieu et des métamorphoses profondes ont touché le monde des lettres et des arts. Mais les lecteurs n'ont pas perdu le goût des revues imprimées et les revues sur internet sont peu nombreuses en fin de compte. Les Cahiers de Tinbad en sont la démonstration. Cette revue déclare s'intéresser exclusivement à la littérature et à l'art. Ce n'est pas exactement le cas ! Toutes sortes de sujets sont abordés et l'ont peu se demander, en lisant le texte de Léon Chestov, si le bolchevisme est un art ! Guillaume de Rouville nous fait découvrir la valeur esthétique du Covid 19 !
Et faut-il élever le professeur Didier Raoult sur le même plan que Victor Hugo ? Ces deux derniers articles me semblent superfétatoire dans le contexte annoncé par les créateurs de cette publication. Mais cela n'a qu'une importance mineur. Je dois avouer que j'ai été un peu déçu par l'essai de Guillaume Basquin, qui fait l'éloge post-mortem de Philippe Murray - son style n'est pas toujours d'une clarté sans défaut et il se laisse aller à des affirmations à l'emporte-pièce un peu vieillies de surcroît. Qu'on lise ou relise Murray, c'est fort bien. Mais encore faut-il le faire avec discernement. Je pourrais dire la même chose à propos du Pier Paolo Pasolini évoqué par Olivier Rachet. De plus, les longues notes de Jean-Louis Poitevin sur le film Salò sont décevantes - il est plus qu'évidente que Pasolini a pris des liberté avec Sade -, son but l'était pas de célébrer le divin marquis ! Assez de critiques ! Passons à ce qui a plutôt retenu mon attention, comme, par exemple, la lecture des peintures de Brueghel faite par Jean Giono que Quentin Debray revisite : Giorno a évoqué Le Triomphe de la mort dans l'un des essais qu'il a écrits entre 1935 et 1941.
Si les idées de Giono sur la vie rurale et ses beautés ancestrales ne sont guère de mon goût ce qu'il dit au sujet de Brueghel n'est pas pour me déplaire. Mais c'est un peu trop court. Même chose pour l'article sur Charlie Parker de JeanHughes Larché. Je regrette également la brièveté des pages dédiées à Georges Braque : ce que Franck Aïdan en révèle sonne assez juste, mais mériterait d'être bien plus développé. Dommage ! Quoi qu'il en soit, l'essai auquel vont toutes mes faveurs est celui d'Eric Rondepierre. Je suis de parti-pris, c'est évident, car je le connais et j'aime quand il écrit de la fiction. Ici, il s'agit du fragment d'un essai sur les prisons réservées aux enfants. J'ai été surpris et intéressé par sa réflexion sur la pensée des enfants et sur les moyens qui existent pour la dévier ou même pour l'annihiler. Il fait comprendre que l'architecture n'est pas la seule clef (et de loin -, pas même le Panoptikon de Jeremy Bentham, descendant moderne du Théâtre de la Mémoire de Giulio Camillo, pour briser un prisonnier et le maintenir dans un état de soumission ou de renoncement.
La relation entre prison et cinéma peut surprendre ici, mais Rondepierre parvient à nous convaincre de ce étrange conjonction totalitaire. En dépit de son caractère un peu « fouillis », cette revue nommée Tinbad mérite d'attirer notre attention et on peut y découvrir quelques perles.
Gérard-Georges Lemaire
20-01-2022
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