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actualités des expositions
Rayures dans la mer, tâches dans la savane : atelier créatif de Laura Mertz
Samedi 29 février du 15h au 17h
Atelier créatif + goûter à Coutume (12€)
ANOMAL
Quentin Garel
et RENCONTRES DE BAMAKO
exposition photo
MuséOthérapie, l’Art de se sentir bien !
Conférence Samedi 8 février à 15h :
« Art détox »
Estelle d’Almeida, chef de pr...
Ariane Loze - Une et la même
Fabien Tabur présente Buisson Ardent
ERWIN WURM Photographs
GROUP SHOW :
Féminin
antoine poupel
GROUP SHOW : 1970-1990, Regards sur la création havraise
Jusqu’au 22 février 2020
vladimir skoda
GROUP SHOW : L’œil et la nuit
elissa marchal
SOLO SHOW : Horizons
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[verso-hebdo]
25-04-2024
La lettre hebdomadaire de Jean-Luc Chalumeau Les Tiepolo, invention et virtuosité à Venise La chronique de Pierre Corcos Creuser la psychologie La chronique de Gérard-Georges Lemaire Chronique d'un bibliomane mélancolique
La lettre hebdomadaire de Jean-Luc Chalumeau |
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La vallée selon Fabrice Hyber |
La dernière idée du prolifique Fabrice Hyber consiste à transformer la Fondation Cartier en une véritable école. Cela se nomme La Vallée et cela dure jusqu'au 30 avril 2023. L'artiste présente lui-même l'ensemble des 18 salles de classe avec mobilier adapté à la taille des enfants dans une courte vidéo dès l'entrée du circuit sur deux niveaux à partir de l'espace conçu par l'architecte Jean Nouvel. Nous savions depuis l'exposition Habiter la Forêt à la galerie Nathalie Obadia que l'artiste entreprend depuis vingt cinq ans de faire pousser 70 hectares de forêt près de son atelier en Vendée, ancienne ferme de ses parents. Il qualifie cette entreprise de « biotope omniprésent dans mon travail, à la fois comme sujet, paradigme, utopie et projet de vie. » On voyait donc des arbres et des racines, le principe de germination servant à Hyber de modèle de création et d'analogie, et c'est la même chose à la Fondation Cartier où l'on rencontre dans les salles de classe aussi bien d'anciens travaux que les 15 nouvelles compositions réalisées pour l'occasion.
On remarque en particulier Paysage de mesures (2019), fusain, peinture à l'huile sur toile, de 1 mètre 50 sur 2 mètres 50, qui correspond bien à l'intention de l'artiste : « J'ai toujours considéré que mes peintures étaient comme des tableaux de classe, ceux sur lesquels nous avons appris à décortiquer nos savoirs par l'intermédiaire d'enseignants ou de chercheurs. On y propose d'autres mondes, des projets possibles ou impossibles. Dans cette exposition, j'ai choisi d'installer des oeuvres à la place de tableaux d'une possible école. » Depuis les peintures homéopathiques de sa jeunesse, Fabrice Hyber qui avait acquis une formation scientifique avant de faire les Beaux-Arts à Nantes, sème de multiples signes, formules et chiffres dans ses toiles. Aujourd'hui, dit-il, « je sème les arbres comme je sème les signes et les images. Elles sont là, je sème des graines de pensée qui sont visibles, elles font leur chemin et elles poussent. Je n'en suis plus maître. »
Quel chemin parcouru depuis les débuts de Fabrice Hybert (le t a disparu en 2004) qui avait réussi à persuader les centres Leclerc de financer son projet de « plus grand savon du monde ». Vingt-deux tonnes sur un semi-remorque spécial promené sur les parkings des supermarchés sous le label « art contemporain » ! L'artiste a laissé des traces de l'époque où il inventait des objets improbables destinés au livre Guiness des records, par exemple le « ballon carré » est là. Le farceur aux cheveux teints en vert est devenu un professeur très sérieux, membre de l'Académie des Beaux-Arts depuis 2018. Un professeur un peu particulier il est vrai : « ce qui est important dans une école selon moi, plus qu'apprendre des choses, c'est apprendre à les regarder, à observer comment elles évoluent. » A la Fondation Cartier en ce moment, nous sommes invités à observer comment évolue l'artiste Fabrice Hyber, l'homme qui ne cesse de bouger.
www.fondationcartier.com/expositions/la-vallee
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Verso n°136
L'artiste du mois : Marko Velk
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Elena Santoro
par Gérard-Georges Lemaire
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Griffures : Luisa Pinesi joue
entre surface et profondeurs
par Gérard-Georges Lemaire
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Rencontres au café Tortona avec Ariel Soule
par Gérard-Georges Lemaire
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Le fil rouge d'Akane Kirimura
par Gérard-Georges Lemaire
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Pierre Delcourt
en quête d'un absolu du visible
par Gérard-Georges Lemaire
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Stefano Soddu,
entre diverses dimensions
par Gérard-Georges Lemaire
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Une expédition picturale à Cythère
en compagnie d'olivier de Champris
par Gérard-Georges Lemaire
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Dans l'atelier de Hans Bouman
par Gérard-Georges Lemaire
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John Giorno : William Burroughs
tel que je l’ai connu.
par Gérard-Georges Lemaire
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Giampiero Podestà, ou l'origine d'un monde
par Gérard-Georges Lemaire
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[idées]
Takis: Contemporary Poet of Heaven and Earth
by Megakles Rogakos, MA MA PhD |
Sur les pas d’Adalberto Borioli
par Gérard-Georges Lemaire
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Marilena Vita,
entre mythe et onirisme
par Gérard-Georges Lemaire
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Le regard photographique
de Marie Maurel de Maille
par Gérard-Georges Lemaire
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Santiago Arranz,
l'ami intime des écrivains
par Gérard-Georges Lemaire
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[idées]
George Koumouros
"Portrait Landscapes"
Exhibition curated
by Megakles Rogakos
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