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  [verso-hebdo]
08-07-2024

La chronique de Gérard-Georges Lemaire
Jean Nocret, un peintre oublié du XVIIe siècle français.

La chronique
de Gérard-Georges Lemaire
Chronique d'un bibliomane mélancolique

Juifs d'Orient, sous la direction de Benjamin Stora, Gallimard / Institut du Monde Arabe, 224 p. 29 euro.

L'univers juifs a été divisé en deux parties : les ashkénazes qui ont vécu en Europe (surtout en Europe centrale et orientale) et en Russie après la grande peste de 1348, dont la langue était le yiddish (la base est un allemand médiéval un peu transformé avec l'ajout de différents idiomes, dont l »hébreu, le français, l'anglais etc.), et puis les sépharades, qui ont été dispersés tout autour de la Méditerranée, surtout après leur expulsion de l'Espagne en 1492, de la Sicile et puis du Portugal. Leur langue était le ladino, mais pas partout : en Italie, les Juifs parlent l'italien. Il est rare que les ashkénazes et les sépharades cohabitent et s'ile font c'est dans des circonstances bien particulières. Leurs rites sont assez différents. Ce fut le cas à Venise et encore plus à Trieste qui a longtemps été une possession de l'Empire austro-hongrois. Il y a même eu une synagogue à Trieste qui avait un étage sépharade et un étage ashkénaze (elle a malheureusement disparu). A Ferrare, la synagogue se divise en trois lieux, l'un dédié au culte espagnol, l'autre au culte italien et le dernier au culte allemand. Ce volume fondamental a été publié en 2022 à l'occasion de l'exposition qui s'est tenue à l'IMA à Paris. N'ayant pas pu à l'époque rendre compte de cette importante publication, qui est une sorte d'encyclopédie d'un univers aux mille facettes.
Les synagogues étaient souvent décorées, comme celle de Doura Europos (aujourd'hui en Syrie), qui était ornée de l'arbre de vie, son ciborium montrait le sacrifice d'Isaac. Sur la façade figure encore la menora avec le cédrat et la pelle ; à gauche devait se trouver une représentation du Temple. Les synagogues les plus anciennes remontent au IIIe siècle avant notre ère. On pouvait les rencontrer à Babylone, à Alep, à Bagdad, à Cordoue, à Grenade, etc. Leurs façades étaient souvent décorées de grenades, raisin, d'épis de blé, de rosaces, d'aigles (symboles de la tribu de Juda), de lions (autre emblème de cette même tribu).L'hexagramme est aussi présent. Les mosaïques du sol sont souvent décorées du mobilier sacré.
Tous ces éléments figuratifs se retrouvent dans les manuscrits du Moyen Âge. On sait qu'il y avait des communautés juives avant notre ère. On a découvert à Rome des catacombes juives datant di Ier siècle avant notre ère, avec des symboles et aussi des inscriptions en latin, ce qui prouve que ces personnes étaient bien intégrées depuis un certain temps. Au Ier siècle, ces communautés se sont multipliées encore dans tout le pourtour méditerranéen, surtout après la destruction de Jérusalem en 130., lors de la seconde révolte Il y a eu une Loi écrite et aussi une Loi orale, qui a été contestée par beaucoup. De même, il y a deux Talmud, l'un conçu à Jérusalem (terminé au (IVe siècle), l'autre à Babylone, qui a dû être achevé entre le Veet le VIIe siècle - C'est finalement la pratique babylonienne qui l'a emporté. ((cela demeure un débat de nos jours). Quand l'Islam se répand au Proche et au Moyen Orient, Jérusalem était surtout une ville chrétienne (jusqu'au XIe siècle. Après la conquête, les Juifs ont pu installer un lieu de prier près du mont du Temple. Il y eu ensuite les Juifs d'En Andalus, quand les Arabes ont pris possession de l'Espagne. Les persécutions de 1391 ont entraîné d'importants déplacements de population, surtout vers l'Afrique du Nord. Puis les expulsions de 1492 et de 1497 pour le Portugal ont complètement redistribué les cartes du monde juif auteur de la Méditerranée.
On apprend ici comment se déroulait la vie religieuse sous la domination arabe et une importante section est consacrée à la période coloniale où l'Europe change encore les règles. C'est passionnant de bout en bout et cela peut être regardé comme une véritable vision encyclopédique de l'univers sépharade, qui n'a jamais cessé de changer au fil des siècles.




Martin Parr, Short & Sweet, Martin Parr, 24 Ore Culture, 130 p., 26 euro.

Né à Epson (Surrey) en 1952, Martin Parr se passionne pour la photographie dès son plus jeune âge. Il a étudié cette discipline à Manchester entre 1970 et 1973. Il s'est employé à développer une démarche personnelle qui l'a fait connaître assez vite aussi bien en Grande-Bretagne qu'à l'étranger. Il s'est choisi des thèmes qu'il a travaillé au fil du temps, employant aussi bien le noir et blanc que la couleur. Ce qui frappe dans sa manière de traiter un sujet est qu'il cherche des sujets qui met en évidence un comique de situation qu'une vision un peu caricatural de notre monde. Mais il ne cherche pas à caricaturer ses sujets : il les prend tel qu'ils se présentent et parvient à traduire l'impression qu'il en a eu.
C'est une procédure un peu paradoxale : il n'entend pas se moquer de ce qu'il voit mais d'en dévoiler l'aspect étrange ou ridicule qu'ils manifestent. C'est assurément une manière de faire très originale qui nécessite une promptitude de l'esprit et de l'oeil. Et aussi une incroyable maîtrise technique. Et, ce faisant, il réussit à se moquer de l'art de son époque tout en affirmant sa propre aptitude à faire un art qui joue sur un registre qui n'appartient qu'à lui. Il ne cesse de multiplier ses intérêts, par exemple les voyages lointains,les séjours à la plage l'été, des événements festifs aux dancings. Il ne fait pas poser ses modèles : il tient à les saisir dans la posture qu'ils ont adopter et ne cherche pas le pittoresque.
Il a une faculté remarquable de saisir une scène qui mérite d'être retenue et qui reflète nos moeurs et nos comportements en société (ce n'est pas un intimiste). Cette exposition anthologique montre au visiteur toutes les facettes de sa recherche, qui est d'abord celle d'un lieu commun qui devient, grâce à son choix, un lieu d'élection. On peut dire qu'il a élaboré au cours de son existence une sorte de comédie humaine partant d'une rencontre soudaine avec une « image » qui puisse être rangée dans sa collection qui fait de lui non pas un Honoré Daumier, mais plutôt le contraire des grands photographes de l'entre-deux-guerres, qui ont voulu plus que tout capturer la poésie de ce qu'ils avaient pu rencontrer par hasard au coin d'une rue ou recréer par une scène posée. Nous sommes aux antipodes de cet idéal. Mais, comme toujours, la réalité dépasse la fiction !




La collezione in devenire dove i quadri hanno voce, Maria Silva Proni

Ce fort volume se veut le complément de l'exposition qui a eu lieu au museo Bagatti Vasecchi de Milan, qui a présenté la collection Gastaldi Rotelli. Ce qui m'a aussitôt intrigué dans l'essai de Maria Siva Proni, c'est d'avoir placé la beauté comme concept-clef de cette collection. La notoriété de l'artiste a peu compté et parfois les tableaux sont anonymes. Persuadée que « l'artiste est un démiurge qui réinvente le monde », l'auteur de cette étude ne cherche pas à tirer le fil rouge de la réalité historique, mais part en quête de ces oeuvres souvent méconnues ou reléguée à un plan mineur qui dénotent cependant des qualités insoupçonnées.
Il y a des ouvrages signés par Agostino Asseto ou par Giacomo Francesco Cipper qui sortent du lot. On découvre l'ampleur de ce que Bernardo Strozzi a pu réaliser ou encore des compositions de Giovanni Bernardino Azzolino ont pu créer pour des églises entre la Ligurie et Naples. Ce que Bernardo Strozzi a recherché, c'est quelque chose qui se situe entre le réalisme et l'idéalisme, qui échappe donc à toute classification précise. Quant à Giuseppe Vermilio, il est évident qu'il a subi l'influence du Caravage. Mais ce n'est pas un caravagesque, et de loin. Son rendu d'une scène biblique est trop posé et par conséquent trop sage.
Maria Luisi Rizzini s'est intéressée au vêtement au XVIIIe siècle dans l'Italie septentrionale. Pour ce faire, elle est allée chercher des toiles peu connues, par exemple, celles de Giacomo Cerutti. Laura Dal Prà est allée examiner les livres qu'on trouve dans certains tableaux de cette collection. Ils sont nombreux. Giovan Battista Langetti a représenté des mains qui se crispent nerveusement sur des pages d'impressionnants volumes. Giazcomo Francesco Cipper a montrer le maître d'école dans l'exercice de sa fonction avec toujours un livre à la main.
Après toutes ces études, on a fait le catalogue de cette collection présentée au musée Bagatti Valsecchi. Cesare Procaccini, Bernardo Strozzi, Nicolas Régnier, Francesco Cairo, Paolo Porpora, Ebherard Keilhau, Giovan Battista Longetti, Angelo Massarotti, Sebastiano Riccci, voici les noms des artistes choisis par le collectionneur (parmi d'autres) : pas un seul n'est célèbre à part Alessandro Magnasco dont on découvre l'admirable Bibliothèque du couvent (vers 1730). On peut aussi admirer le Capriccio archeologico de Giovanni Paolo Pannini (1765). De nombreux essais suivent pour évoquer la constitution de la collection et les ultimes acquisitions. En dépit d'une mise en page parfois singulière, on nous donne l'occasion de pénétrer au coeur d'une grande collection qui s'est constituée sur d'autres critères ceux que nous connaissons. C'est là un beau voyage plein d'enseignement.




Le Livre de Jonas, Jacques Ellul, préface de Sébastien Lapaque, « La petite vermillon » , La table ronde, 192 p. 7, 30 euro.

Jacques Ellul (Bordeaux 1912-1994) s'est plongé dans l'étude du « Livre de Jonas » dans la Bible, écrit vraisemblablement au Ve siècle avant nitre ère. Philosophe et sociologue, il a enseigné en mettant l(accent sur les problèmes de la technologie et sur l'histoire de la loi. Il s'est aussi intéressé au rapport entre théologie et politique. Tous ces sujets ont eu partie liée selon lui. (Il suffit de lire Les Fondements théologiques du droit de 1946, ou Présence du monde moderne : problèmes de la civilisation post-chrétienne. Ce Livre de Jonas, publié en 1959 sous le titre de Foi et vie, est le développement de ce grand thème biblique sous la forme de méditations et d'extrapolations, qui ont pour objets de mieux comprendre le rapport de l'homme et de la croyance en Dieu.
Il faut reconnaître qu'il a très bien su développer la question en en faisant un questionnement perpétuel. Il considère aussi que Jonas est l'annonce de Jésus Christ. Il pense Jonas comme l'homme révolté, mais aussi comme l'homme qui va divulguer la foi. C'est un paradoxe qui fait partie de sa conception religieuse, où la liberté de l'être humain est le fruit du respect des lois divines. C'est difficile pour un croyant, et même pour un croyant de l'Eglise réformée (à laquelle il a appartenu) d'adhéré à cette pensée de Jonas revenu sur terre et devant accomplir sa mission. Mais on ne peut qu'être saisi par la subtilité de ses raisonnements et du devenir de ce personnage improbable. Et ce livre est par conséquent un excellent instrument pour se pencher sur la justesse et de la vérité de de ses positions quand il est devenu indispensable de comprendre ses propres positions quand on se veut résolument chrétien alors que cette fable est née dans un contexte hébraïque.
La préface de Sébastien Lalaque nous éclaire avec discernement sur le sens de sa démarche.
Gérard-Georges Lemaire
22-02-2024
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