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La chronique de Gérard-Georges Lemaire
Chronique d'un bibliomane mélancolique

La chronique
de Gérard-Georges Lemaire
Chronique d'un bibliomane mélancolique

Julie Manet, sous la direction de Marianne Mathieu, Editions Hazan / Musée Marmottan Monet / Institut de France, 324 p., 45 euro.

Cet imposant volume dédié à Julie Manet et à son univers est plus un ouvrage de caractère biographique qu'un catalogue dans le sens classique. Il faut d'entrée de jeu se féliciter du nombre très important de photographies et de documents, en plus des tableaux et des dessins, qui nous autorise à pénétrer dans ce monde où les arts ont été cultivés et où l'on croise des figures telles que Stéphane Mallarmé, Pierre-Auguste Renoir, Edgard Degas et les membres de la famille Rouart. Elle a été le centre de ce cénacle de créateurs et d'esthètes avisés. Elle est la fille unique de Berthe Morisot et d'Eugène Manet, le frère du peintre. Elle est née en 1878. Elle reçoit une éducation très soignée et apprend à jouer du piano, du violon, de la flûte et de la mandoline. Elle a été très tôt le modèle de sa mère et elle le sera aussi par la suite de nombreux artistes. Elle épouse en 1900 Ernest Henri Rouart, fils du peintre Henri Rouart, Il est lui-même artiste et a été soutenu par Edgar Degas, qui l'encourage à faire des copies au musée du Louvre.
Il commence par travailler dans l'optique de l'impressionnisme. C'est aussi, comme son père, un collectionneur passionné et il rachète la collection de ce dernier en 1912. Il expose à la Société nationale des beaux-arts, au Salon des Tuileries, au Salon des Indépendants et au Salon d'Automne. C'est lui qui organise l'exposition du centenaire d'Edouard Manet à l'Orangerie en 1937 et celle de Berthe Morisot en 1941. Le couple a eu trois enfants. Quand à Julie, elle est omniprésente dans les tableaux de ses amis. Elle a écrit un Journal entre 1893 et 1899, avec pour sous-titre : « sa jeunesse parmi les peintres impressionnistes et les hommes de lettres ». Elle n'a pas laissé une trace profonde en tant que peintre car elle est demeurée assez peu originale dans la facture de ses oeuvres. Si nous pouvons la regarder comme la muse de l'impressionnisme, elle n'a jamais su ou pu s'engager dans une voie picturale audacieuse comme tous ceux qui l'entouraient et n'est pas allée au bout d'un cheminement prometteur.
Sans doute le mariage et ses maternités ont mis un frein à son aventure artistique. Mais elle a tenu à faire le portrait de ses enfants. C'est sans doute là le mystère et le paradoxe de son existence. On a le sentiment qu'elle a renoncé à cause de l'entourage mythique qui était le sien et aussi à cause de la présence de son mari qui était plutôt doué. Mais elle a tout de même, entre autres, sous la férule de Renoir, exécuté des toiles qui ne ont pas indifférentes, même si elles peuvent sembler un peu maladroites. Dans ce catalogue d'une richesse inouïe, on fait la découverte de toutes ces personnes qui ont tant compté pour la culture de la fin du XIXe siècle. C'est une vraie merveille qui donne des visages à tous ce êtres qui ont préparé notre modernité. Et il est indispensable pour tous ceux qui souhaitent mieux connaître cette période fondamentale pour la constitution de notre sensibilité esthétique.




La Lune, par les grands maîtres de l'estampe japonaise, Anne Sefriou, Editions Hazan, s. p., 29, 95 euro.

Dans son indispensable introduction, Anne Sefriou évoque un vieux conte japonais, celui du Coupeur de bambou, où le brave homme découvre une petite enfant dans un noeud de l'un de ses bambous. Il l'élève et devient le Princesse lumineuse, d'une grande beauté, qui, devenue une jeune fille, et courtisée par le plus grand personnages du pays et même par l'empereur. Celle-ci s'est envolée dans le ciel pour rejoindre la lune, entourée par une vaste escorte qui l'emporte vers l'immortalité. Depuis lors, la lune est considérée comme une source de prospérité et de bienfaits. Une fête de la contemplation de la lune a été instituée en automne à une date établie par l'ancien calendrier luno-solaire (en vigueur jusqu'en 1873), qui correspond à notre équinoxe. Cet événement (Tsukimi) est décrit dans un certain nombre d'estampes qu'on trouve dans ce recueil. De offrandes sont alors faites à la lune. D'importantes anthologies de poésie ont été écrites à ce sujet, à commencer par le Recueil des dix mille feuilles, composé au VIIIe siècle.
Pour le moine errant Saïgô, qui a vécu à la fin du XIIe siècle, auteur du Recueil de la cabane des montagnes, la lune est la représentation de Bouddha. La lune a pris des significations diverses au fil du temps, comme celui du miroir à l'époque Heian. Et nombreux sont les hommes de lettres qui lui ont rendu un hommage vibrant. Pour le poète Bashô, par exemple, c'est une entité universelle. Ce n'est pas le cas pour l'art. L'iconographie lunaire n'apparaît qu'avec l'introduction d'un art nouveau de la gravure sur poids pendant l'ère d'Edo. La lune est alors associée à diverses activités, allant de celle des pécheurs jusqu'à celles des courtisanes. Mille occasions se révèlent excellentes pour en célébrer la beauté. Depuis Kôemi et Sôtatsu au XVIe siècle, la lune préside à de nombreuses compositions. Dans ce magnifique album, nous voyons surtout des oeuvres d'Hiroshige et d'Hokusai, qui a signé un album intitulé Les Vingt-huit vues au clair de lune. Mais on ne saurait non plus négliger Les Cent aspects de la lune de Taiso Yoshitoshi. Et le tout se conclue par quelque représentants du nouveau courant du shin-hanga (ce qui signifie « nouvelle gravure ») qui fait son apparition au début du XXe siècle. Ce thème se révèle dans ces pages dans toutes sortes de variations et dans des imaginaires assez différents. C'est une opportunité rêvée de lire le grand art de l'ukyio-e dans une perspective nouvelle.




Fleurs aimées, entre peinture et poésie, Editions Hazan, 192 p., 29, 95 euro.

Ce livre se présente comme un florilège. Il est divisé selon les quatre saisons et met en relation un poème et un tableau. Tout commence ici avec le printemps. On lit un poème de Théodore de Banville (« Les Stalactites ») et l'on découvre un paysage de Renoir (La Prairie, circa 1880). Les relations entre les textes offrent souvent des connivences subtiles comme, par exemple « Chanson pour la saison du lilas » de Walt Whitman et la branche d lilas peinte par Maria Gertrulda Barbier-Snabilié. Les règles de jeu sont très simples, mais néanmoins efficaces et surtout plaisantes. Il y a ici un parfum d'autrefois, d'autant plus que les oeuvres retenues sont souvent d'artistes impressionnistes. Ce qui fait le charme de cet ouvrage est qu'il n'a pas retenu que les grands noms de la peinture française, mais qu'on y découvre de belles compositions peu connues, surtout de l'Europe du Nord. Claude Monet, Maurice Denis, Pierre-Auguste Renoir (pour ne citer qu'eux) ne pouvaient évidemment pas manquer à l'appel.
Si les textes et les travaux des peintres ne sont pas nécessairement de la même époque, mais l'on sent bien que l'on a désiré créer un pont entre l' « image  » et le texte, parfois très subtile. Odilon Redon y côtoie John Lafarge ou Askeli Gallen-Kallela, le grand artiste symboliste finnois. En fin de compte, le lecteur aura la grande joie de découvrir (ou de se remémorer) de poèmes d'auteurs illustres et de se plonger dans un univers pictural très raffiné exaltant les merveilleux que la nature nous offre selon chaque saison. D'Hokusai à Edouard Manet, de François-René de Chateaubriand à Victor Hugo ou à Tristan Corbière, nous avons de page en page la joue de voir ces fleurs qui nous accompagnent dans le temps nous être présentées par la peinture, l'aquarelle ou la gouache et puis par des vers mémorables. C'est sans doute là un superbe cadeau à faire pendant les fêtes !




Les Soixante-neuf stations du Kisokaido, Hiroshige, Anne Sefrioui, Editions Hazan, 286 p., 35 euro.

Ce volume nous convie à découvrir un ouvrage complet d'un de plus grand maîtres de l'ère d'Edo, Hiroshige. Anne Sefrioui nous explique d'abord le titre : Kisokaido (ce nom signifie : route qui traverse les montagnes) est l'une de nouvelle routes reliant Edo (qui va devenir Tokyo, la nouvelle capitale) et Kyoto (l'ancienne capitale impériale). A partir du moment où le pays a été conquis et pacifié par le shogunat Tokugawa, de grands travaux d'aménagement du territoire permettent la circulation des biens et la possibilité de voyager sans crainte. Utagawa Hiroshige (1797-1858), l'un de plus grand et prolifiques créateurs de son temps, s'est emparé de ce prétexte pour faire voir à sa façon la beauté et la diversité des paysages que longent cette longue route et aussi pour montrer ceux qui la parcourent, que ce soient des paysans, des artisans, des pécheurs, des marchands de toutes sortes ou des fonctionnaires en mission.
Cet album a paru entre 1833 et 1834. Il est vrai que l'artiste avait tout pour se délecter : pas moins de douze rivières, un grand lac, la baie d'Ise. Une autre route, la Nakasendo, faisait plutôt traverser des collines et de vallées. C'était néanmoins le parcours préféré de l'empereur et du shogun. Des auberges ponctuaient tout le chemin qui nécessitait plusieurs jours de marche. Ce sont ces stations que l'artiste a voulu en premier à représenter. Mais il a choisi des angles de vue assez larges pour embrasser au mieux les visions superbes que découvraient les voyageurs. En fait, ce sont toutes les beautés d'une partie du Japon qui sont déclinée dans ces estampes, mais aussi une vaste comédie humaine avec la représentation de tous ceux qu'on a pu rencontrer sur cette route. L'auteur a utilisé un registre assez réduit de couleurs, surtout du vert et du rose, ce qui donnait à ses créations une tonalité particulière et une sorte de poésie n'appartenant qu'à lui. C'est un chef-d'oeuvre qui associe étroitement la richesse infinie de la nature et §les nombreuses activités de ses contemporains, procurant une sensation d'harmonie et de prospérité.
Aujourd'hui, ce monde n'est plus, mais les paysages demeurent présents et le voyageur moderne peut très bien, grâce à ses gravures, imaginer ce qu'a été le Japon dans le premier tiers du XIXe siècle. Et nous, nous devons aller au-delà de l'exotisme et tenter de comprendre la réalité d'un pays en pleine expansion. Le monde temporel et le monde intemporel des lieux décrits ont été fondus dans un mode de description où le réalisme se conjugue à une transposition presque sublimée des paysages qui bordent cette route légendaire.




Chaïm Soutine/Willem de Kooning - la peinture incarnée, sous la direction de Claire Bernardi & de Simonetta Franquelli, Editions Hazan / musée de l'Orangerie, 232 p., 40 euro.

En règle générale, je n'apprécie pas beaucoup la confrontation entre les maîtres anciens et les artistes modernes, et encore moins avec les artistes contemporains. Il existe bien sûr des exceptions, comme l'exposition Pablo Picasso - Eugène Delacroix présentée au musée du Louvre ou celle de Picasso et de Manet au musée d'Orsay. Mais là, Picasso avait décliné des thèmes précis qui avaient été traités par les artistes en question (Les Femmes d'Alger dans le premier cas, Le Déjeuner sur l'herbe dans le second). C'est hélas devenu un exercice désormais presque obligatoire dans tous les musées et c'est selon moi in traquenard pour la compréhension de l'histoire de l'art.
En ce qui concerne cette confrontation entre Willem de Kooning et Chaïm Soutine, qui est en partie justifiée, on ne saurait vraiment se scandaliser. Mais la mise en scène qui met en rapport ces deux oeuvres est-elle pertinente ? Je ne sais trop quoi répondre. Je ne crois pas que cela ait été très nécessaire, mais leur association est acceptable. Chaïm Soutine a été le premier artiste à avoir introduit une forte dose d'expressionnisme dans ses tableaux en France, aussi bien dans les paysages que dans les figures humaines. On est même saisi quand on y pense de manière rétrospective. Alors que Picasso et Braque déformaient les visages, le corps et les choses de manière géométrique, Soutine, lui, dès la fin des années 1910 et le début des années 1920, avait poussé très loin la dénaturation de l'apparence humaine et de tout ce qui se présentait sous son pinceau. Sans doute d'autre, un peu avant lui, à cette époque, ont pu métamorphose le corps des nus ou leurs traits, comme a pu le faire, par exemple, Amedeo Modigliani (où tout est néanmoins tempéré par on goût classique qui est toujours sous-jacent). Mais aucun de ses pairs à Paris n'est allé aussi loin dans la mie à mal des proportions corporelles et du contour d'un visage.
Mais le véritable point de départ de ces exagérations forcées, qui dépassent de loin celles de Vincent Van Gogh, commencent au début des années 1920 avec, entre autres, L'Homme au manteau vert (1921). Le célèbre Groom de 1925 est l'archétype de son esthétique sauvage. De Kooning, au sortir de la Seconde guerre mondiale, à l'époque où s'affirme l'Ecole de New York, choisir de rester dans la sphère figurative, mais en poussant très loin le limites du représentable. Sa Femme de 1953, a Monroe de 1954, La Visite de 1966-1967, pour ne citer que ces ouvrages à l'huile, poussent toujours plus en avant la frontière entre la figuration et l'abstraction : les formes sont emprisonnées dans un maelström de matières colorées qui semblent effacer les contours de tout sujet. L'influence de Soutine est tout à fait évidente, mais les problématiques de W. de Kooning sont largement différentes et on y décèle une pointe d'Art brut. C'est très intéressant, mais n'et-ce pas une réduction ? La démonstration et claire et nette. Mais n'est-ce pas là réduire la portée de sa recherche ? Quoi qu'il en soit cette exposition mérite le déplacement et le catalogue est passionnant (je maintiens ma critique, mais j'en recommande malgré tout la lecture.




Le Monde doit être romantique, Novalis, traduit de l'allemand et présenté par Olivier Schefer, Editions Allia, 138 p.

Georg Philipp Friedrich von Hardenberg (1772-1801) a choisi le pseudonyme de Novalis en 1796. Son oeuvre a été brève, mais fulgurante. Sa poésie, qui est fruit d'un idéalisme qui lui et inspiré par Fichte, mais aussi par Leibniz et Plotin, et aussi par Jakob Böhme et Paracelse. Mais il et aussi un homme des Lumières comme le prouve son Brouillon général (également publié par les Editions Allia) car il y embrasse différents domaines de la connaissance. Ces fragments sont des notes qu'il a prises sans doute en vue d'un ouvrage ou pour nourrir la substance ses poèmes. Il y fait presque aussitôt l'éloge de Fichte qu'il considère comme l'inventeur d'un nouveau mode de penser. Et il affirme aussi très vite que philosopher est « une étreinte ». Cela étant posé, il n'en reste pas moins qu'à ses yeux la poésie est l'art suprême - la pensée suprême : « la poésie est le réel absolu. Ceci est le noyau de ma philosophie.
Plus une chose est poétique, plus elle est réelle. » Il lui arrive de développer des questions particulière, comme celle des diverses manières de concevoir la philosophie ou l'attitude des sophistes. Il réfute la logique et vante les vertus de la métaphysique. On se rend compte, au fur et à mesure de la lecture, qu'il ne cherche pas à s'agripper à un certain type de philosophie, mais qu'il recherche plutôt ce que les philosophes ont pu apporter à sa représentation poétique du monde. Parfois il s'égare quand il proclame que moralité et philosophie sont des arts ». Il lance aussi un brûlot assez inquiétant quand il écrit : « Le monde des livre n'est en fait que la caricature du monde réel. » On sent qu'une profonde inquiétude le déchire et l'entraîne à douter de lui-même et de tout ce qu'il manipule. Toutefois, Novalis apporte dans ces réflexions matière à peser d'une manière novatrice le idées qui ont fait tourner le monde occidental et qui, sous a plume, prendre d'ores et déjà un autre sens qu'il n'a pas eu le temps de développer. Ces lignes sont donc précieuses pour apprendre à méditer en des termes parfois bouleversants.
Gérard-Georges Lemaire
28-10-2021
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