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  [Visuel-News]
03-07-2025

La chronique de Pierre Corcos
Quels cirques !

La chronique de Gérard-Georges Lemaire
Chronique d'un bibliomane mélancolique

La chronique
de Gérard-Georges Lemaire
Chronique d'un bibliomane mélancolique

Dall'opera aperta all'opera ellitica, oltre la modernità e il postmoderno - studi e note sulla nuova classicitàità, Carmelo Strano, Mursia, 264 p..

Ce volume, paru en 1989, réunit les essais que Carmelo Strano a publiés entre 1984 et 1988 ainsi qu'une étude alors inédite. Avec le recul, ces considérations permettent de mieux comprendre ce qui s'est déroulé alors et qui a été une mutation profonde de la pensée et des modalités de la création. Il a été parmi les premiers à comprendre l'importance fondamentale de ce Nouveau Classicisme qui était en train de toucher tous les domaines, de la philosophie à la littérature en passant par l'architecture. Cet événement a été d'une dimension considérable car il a correspondu à la chute des idéologies. Epuisement, nihilisme, négativité : voilà les grands thèmes du postmodernisme. La rationalité classique est la victime de cette mutation.
Notre auteur scrute avec minutie toutes les formes adoptées par cette Douce Rationalité (Dora) A celle-ci correspond une irrationalité impossible à écarter totalement. Et cela abouti à une transformation du rapport nature - culture. La notion d'oeuvre ouverte ne suffit plus à caractériser ce qui se passe dans la sphère de la création : Strano introduit celle d'oeuvre elliptique. Il est question ici d'un langage de la déviance. Les repères liés au savoir ancien sont renversés au profit d'une nouvelle conception de l'espace et des sciences. Il en est de même pour les arts qui ont une relation étroite avec le chaos.
Dans la première partie, l'auteur nous explique ce qu'est le postmodernisme. Ensuite, il montre en quoi se modifient les codes sémantiques. Il aborde une question qui a eu son poids à la fin du siècle dernier qui a été l'enracinement de l'art dans la philosophie (et je pourrais presque renverser la problématique en disant que la philosophie de l'époque s'est enracinée dans l'art pour trouver je ne sais trop quelle légitimité). Ce phénomène curieux et parfois déplacé semble donner corps à une nouvelle manière de produire la réflexion philosophique, que ce soit chez Habermas, chez Jacques Derrida (qui a tenté, avec un succès très relatif, de conjuguer sa philosophie et la littérature dans un gros livre, Glas), chez Gilles Deleuze, pour ne citer qu'eux. Les artistes, pour leur part, ont souhaité se rapprocher du monde scientifique - un groupe de peintres français a voulu lancer un art fractal, qui n'a pas connu la reconnaissance des amateurs escomptée. On a le sentiment que tout ce qui a été au coeur de notre éducation scolaire n'est plus qu'une vieille lune et que seul le couple Albert Einstein-Max Planck a quelque vérité par rapport à tout ce qui se conçoit. Impossible pour moi de restituer le développement de la pensée de Carmelo Strano car elle touche à trop de domaines et postule trop de problématiques. Mais pour qui connaît l'italien, ce livre est une merveille car il met l'esprit en mouvement et nous contraint à observer le vivant (la nature dirons-nous) et l'artifice (nos créations, de la littérature à la sculpture ou à la peinture). En général, une théorie est développée d'une façon inexorable et nous ne pouvons qu'en suivre le déroulé. Avec lui, nous passons d'une hypothèse à une autre, d'une question à une autre encore. C'est précisément ce qu'un livre devrait être : une machinerie à méditer (ce qu'ont été les merveilleux Essais de Michel de Montaigne).




Mai visto un tempo così. Come sentiamo, pensiamo, agiamo all'apertura del nuovo millenio, Carmelo Strano, Lupetti, 184 p., 15 euro.

Publié en 2004 cet essai n'a rien perdu de son actualité. Au contraire, il ne fait que confirmer ses hypothèses qui ont été formulées dans une période encore trouble de la culture occidentale. En effet, le dernier tiers du siècle passé a été marqué par une rupture d'une portée considérable : le modernisme, qui a été la clef de voûte de toute création, même s'il ne s'est pas imposé dans tous les domaines (il n'est que de songer à l'Ecole de Paris pendant l'entre-deux-guerres), est demeuré l'instrument théorique de ce qui nous a caractérisé pendant toutes ces décennies. L'architecture en a été l'expression la plus puissant de toute cette période. L'architecture a été la traduction de cette ambition de quitter les normes du passé. Et c'est de l'architecture qu'est issu cette remise en cause radicale de notre histoire des formes. C'est alors de l'architecture qu'est venue cette volonté de ne plus adhérer à cette doxa qui a d'ailleurs pris des aspects néfastes : si l'on admire avec raison les gratte-ciels de New York, les innombrables immeubles édifiés dans les grandes banlieues du monde ont développé des paysages urbains d'une laideur incommensurable. Mais la question principale reste : qu'en est-il de la modernité ? Quelle est sa nature et sa spécificité ?
Carmelo Strano se contente d'observer un changement drastique d'attitude. Le Centre Georges Pompidou de Paris représente (parmi bien d'autres exemples) l'idée qu'on peut se faire de ce changement de cap. Il en a profité pour faire un excursus à propos de la critique d'art, depuis Giorgio Vasari jusqu'au regretté Pierre Restany, dont il a été l'ami et le collaborateur avec la revue Natura integrale. Il considère ensuite que la postmodernité est une crise de la rationalité, se référant à la philosophie de Gilles Deleuze et de Jacques Derrida. Tout ce qui se passe alors est placé sous le signe de la relativité et de nouvelles normes culturelles. Cependant, il ne s'appuie jamais sur des convictions immuables.
J'ouvre ici une courte parenthèse pour souligner que dans le domaine des sciences, plus les connaissances s'approfondissent, plus les questions deviennent ardues et problématiques - il suffit de songer à l'astronomie où les progrès faits dans ce domaine sont aujourd'hui placées devant des questions sans cesse plus béantes et complexes. Dans la sphère de l'art actuelle, chaque artiste doit s'inventer les fondements de sa pratique car il ne possède plus une base solide sur laquelle faire reposer son expérience. Et il termine ce chapitre en évoquant la relation entre nature et culture. Il s'interroge sur le degré de culture que pourrait offrir la nature, ce qui reste une interrogation délicate. La seconde partie de son ouvrage débute par un examen des termes « romantisme » et « classicisme ». Selon, le romantisme serait l'exaspération du classicisme. Mais à ce stade, je m'interroge : le style Second Empire (Napoléon III) a été une synthèse très large de différents grands styles du passé (surtout Louis XIII, Louis XIV, Louis XV et Louis XVI, contaminés souvent par d'autre. Ce style n'a jamais existé que comme un mélange de formes ayant eu une définition claire. Au fond, en tant que tel, il n'a jamais existé. Et il a encore perduré au début de la IIIe République, jusqu'à l'apparition de l'Art Nouveau. Mais on peut déjà s'interroger, surtout en France, sur la notion de romantisme valide en A et en Allemagne. Suivent des considérations sur l'original, le mythe, l'origine. L'auteur nous fait remonter le cours du temps jusqu'au Pop Art qui est le comble de l'objectivation. Et il se penche sur la question sur le thème du chaos et celui de la déconstruction, qui s'est même imposé dans l'urbanisme.
La troisième partie de ce livre concerne la beauté (vaste question !). C'est là une des clefs pour comprendre ce qui s'est dissout dans l'art au fil du temps. Il en vient alors à évoquer la critique d'art : Filiberto Menna avait prédit sa rapide disparition. Et il avait raison ! Le fil conducteur de Carmelo Strano est le principe de la déconstruction, et il a mille fois raison ! Dommage de ne pas avoir la place d'entrer plus en détail dans les circonvolutions intellectuelles de ce dernier car il a touché à des questions fondamentales de notre rapport à l'art et à la culture.




Arturo Schwarz, La Scuola delle cose, n° 17.

Arturo Umberto Samuele Schwarz, à l'instar de F. T. Marinetti et d'Ungaretti, est né à Alexandrie d'Egypte le 3 février 1924 dans une famille juive (son père était d'origine allemande, sa mère était italienne). Il a vécu dans cette ville jusqu'en 1949, y ouvrant une librairie baptisée Culture et y créant une revue, Progrès & Culture. Il se consacre surtout à la politique adhérant à la pensée de Léon Trotski. Il va ensuite s'installer à Milan où il crée une maison d'édition, qui n'a pas tardé à faire faillite. Il a écrit de nombreux ouvrages sur la kabbale, l'alchimie, le tantrisme, sur l'art et la pensée orientale, sur la préhistoire, et aussi sur l'anarchie. Il s'est passionné pour l'art moderne, en premier lieu sur Marcel Duchamp (sur lequel il a écrit une monographie), Jean Arp, Man Ray et d'autres dadaïstes et surréaliste. Sa collection d'oeuvres de ces créateurs a été l'une des plus importantes à cette époque, en Europe. Il a été l'un des fondateurs du musée de Jérusalem et du musée d'art moderne de Tel Aviv. Il a ouvert en 1954 à Milan une librairie, qu'il a transformée en galerie en 1961. Elle a existé jusqu'en 1975. Il a été fait docteur honoris causa de l'université de Tel Aviv. Il a donné une partie de sa collection (environ 700 pièces) à cette dernière en 1998. Il a publié un recueil de poésie en 2014, L'amore a novant'anni.
Gino Di Maggio, Giorgio Bedoni, Frederica Motta et Domenico Pertocoli ont uni leurs efforts pour faire un portraits très détaillé de ce passionné qui a su maintenir un équilibre entre la politique et l'art, nous offrant ainsi la possibilité de mieux connaître cette figure singulière de la culture du siècle passé.
Gérard-Georges Lemaire
03-07-2025
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