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[verso-hebdo]
08-09-2022
La chronique
de Gérard-Georges Lemaire
Chronique d'un bibliomane mélancolique

ParisAthènes - naissance de la Grèce moderne 1675-1919, Editions Hazan / Louvre éditions, 504 p., 39 euro.

La relation de la France avec la Grèce ancienne n'a jamais cessé, même pendant le Moyen Âge. Elle a pris néanmoins des formes très diverses et la Renaissance a amorcé une « redécouverte » et surtout une évaluation nouvelle qui n'ont plus cessé d'intéresser les amateurs d'art, les érudits, les écrivains et les artistes. Le point de départ de cette passionnante exposition qui a eu lieu au musée du Louvre, qui s'est achevée en février de cette année, a donné lieu à la publication d'un catalogue imposant qui fera date. L'idée des commissaires a été de replacer cet intérêt croissant pour le monde grec dans un contexte historique.
Ils ont choisi pour point de départ l'année 1675, sous le règne de Louis XIV : il s'agit de la visite à Athènes de l'ambassadeur François Olier marquis de de Nointel. Il fait expédier à Paris des statues en marbres qui sont entrées dans la collection de la Couronne. Il a entrepris un second voyage en 1673, accompagné d'une suite importante, dont un dessinateur dont on ignore le nom. Il a fait alors l'acquisition de vingt autres marbres. La France ayant de mauvaises relations avec le Saint-Siège, il lui est difficile d'aller puiser en Italie. En revanche, elle a des bonnes relations avec la Sublime Porte. Un marchand hollandais a vendu au roi quatre marbres trouvés à Smyrne.
D'autres acquisitions ont été faites à la fin du XVIIe siècle. Sous Louis XVI, Choiseul-Gouffier a fait un long voyage en Grèce en qualité de diplomate, et en a rapporté outre une collection magnifique, mais aussi un live, Voyage pittoresque de la Grèce. Sa collection est saisie en 1798 et a transférée au Louvre. Napoléon en exige l'exposition qui a eu lieu en 1802 (elle lui a été restituée en partie cette même année, puis achetée plus tard). Le nouveau directeur du musée du Louvre, Le comte de Fortin, s'est rendu en Grèce (Athènes, les Cyclades, Milo, Mélos où est découverte la fameuse Vénus en 1820), à partir de 1817 Il a rencontré Fauvel qui conduisait alors des fouilles en Attique. Forbin lui a acheté plusieurs pièces. Le philhellénisme se développe à cette époque grâce aux ouvrages de Chateaubriand et de Lord Byron. Les artistes français prennent fait et cause pour les Grecs qui tentent de se libérer du joug ottoman.
La galerie Lebrun a organisé dans cette optique une exposition en 1826 alors qu'une littérature historique et poétique se développait (il suffit de songer aux Orientales de Victor Hugo). Eugène Delacroix a figuré parmi ces jeunes peintres qui s'étaient sentis concernés par la cause grecque et qui ont participé à ce « Salon des Grecs » à la galerie de Lebrun rue du Gros -Chenet. Tout avait commencé par la création de la Société de la morale chrétienne cinq ans plus tôt. Etaient aussi présent à cet événement Ary Scheffer et Henri Decaine, Horace Vernet (avec pas moins de neuf tableaux) , David et Marie Colin. Sous le règne de Louis-Philippe, il y eut plusieurs expéditions scientifiques, d'abord sous l'égide de Prosper Mérimée, puis entre 1841 et 1845. Là encore, des oeuvres précieuses ont encore enrichi les collections du Louvre.
La chute de la monarchie de Juillet n'a pas interrompu ces recherches, qui n'ont fait que prendre l'ampleur sous le Second Empire. Elles ont été elles aussi fructueuses pour le musée. Les études réunies dans ce fort volume traitent de multiples sujets, à commencer par l'évolution de l'aménagements des n ombreuses pièces grecques au sein de l'institution. Il y est question de l'influence de ces créations sur Auguste Rodin et sur Bourdelle, mais aussi de l'art grec de la fin du XIXe siècle tel qu'on l'a vu lors ces expositions universelles (ce qui est une révélation). Georges Tolias a examiné en détail la pénétration de la culture et aussi du mythe de la Grèce classique dans notre société.
D'autres essais concernent le néoclassicisme. En sorte que ce catalogue s'est transfiguré en une sorte d'encyclopédie pléthorique des différents regards qu'ont été portés sur la Grèce ancienne et nouvelle. La présence française dans ce pays et les activités de l'Ecole française d'Athènes sont aussi examinées en détail. En somme, ce gros ouvrage est un excellent vadémécum pour comprendre ce que la culture grecque a apporté à la nôtre. Et cela ne vaut pas seulement pour les amoureux de l'antiquité.




Rosa Bonheur, sous la direction de Sandra Buratti Hasan & Leïla Jarbouai, M / O - Flammarion, 45 euro.

Rosa Bonheur (1822-1899) avait quasiment disparue de notre histoire de l'art. Son nom n'évoquait plus rien qui puisse satisfaire les amateurs d'art. Il est vrai qu'elle a vécu pendant une très riche période l'art français, celui de Corot et de l'école de Barbizon, des impressionnistes, de Vincent Van Gogh et de Paul Gauguin, de Henri de Toulouse-Lautrec et des postimpressionnistes. Ses scènes champêtres, ses vaches et ses chevaux semblaient appartenir déjà à un univers devenu un peu suranné même s'il n'avait pas disparu, et même s'il inspirait encore les artistes que nous avons cités, mais il les considéraient sous une autre optique (par exemple, il est à noter que dans de nombreux paysages de Van Gogh, on discerne une fine allusion à de petites manufactures) Aux Etats-Unis, elle a été célébrée et elle le demeure aujourd'hui. Ses plus grands musées la placent au premier plan. L'actuelle exposition du musée des Beaux-arts de Bordeaux (qui dure jusqu'au 18 septembre) lui rend enfin un hommage de poids. Il est vrai que son style de peinture n'est pas révolutionnaire, mais elle a fait preuve d'un métier assez extraordinaire.
Elle est née à sa Bordeaux, mais c'est à Quinsac qu'elle découvre la campagne et le monde animal, qui lui plaisent dès sa toute jeunesse. Elle a suivi ses parents à Paris en 1829. Son père, un paysagiste et portraitiste, devenu veuf en 1833 (son épouse était professeur de piano), a bien remarqué les dons artistiques de Rosa, mais ne souhaite pas l'engager dans cette voie. Après sa scolarité chez les soeurs, elle est entrée dans une école de couture. Son père finit par céder à son désir le plus cher. Elle a peint ses premiers tableaux en 1833. Elle a reçu une première commande de portrait trois ans plus tard. Elle s'est présentée au Salon en 1841 avec deux toiles intitulées : Chèvres et moutons et Deux lapins. Elle a planté son décor de prédilection : le monde animal et la vie paysanne Ses oeuvres n'a pas laissé indifférent car l'année suivante elle reçoit une médaille d'or et aussi une commande. Elle est devenue familière du Salon elle y a présenté son univers campagnard et tout son bestiaire. Et elle y est prisée. En 1849, son Labourage nivernais a connu u un grand succès. Après la mort de son père, elle prend la direction de l'école de dessin dont il avait la charge. Le duc de Morny lui a demandé en 1852 de présenter des sujets en vue d'une commande d'Etat : il choisit le thème de la fenaison. Elle est désormais devenue une figure de premier plan de l'art de son temps.
Le Marché aux chevaux est applaudi lors du Salon de l'année suivante et est exposé ensuite en Belgique et en Angleterre. En 1855, elle est présente à l'Exposition universelle et est entrée dans les collections du musée du Luxembourg. Elle s'est installée dans le château de By, à Thomery, au coeur de la forêt de Fontainebleau, en 1860 et fait installer un important corps de bâtiment pour en faire son atelier. Son personnage est détonnant. Amie intime de l'impératrice Eugénie, elle obtient l'autorisation exceptionnelle de s'habiller en homme (ce qui était interdit à l'époque) et n'a jamais caché son homosexualité. Excentrique en diable, elle a fait construire une ménagerie dans le parc de sa propriété. Les honneurs s'accumulent et elle est faite chevalier de la Légion d'Honneur en 1865. Elle a rencontré Buffalo Bill en 1889 et elle s'est liée d'amitié avec lui, lors de l'Exposition universelle. Elle a assisté à son « Wild West Show » et s'est intéressé aux Indiens.
Elle a exécuté ensuite plusieurs tableaux représentant l'Amérique Elle est déjà connue de l'autre côté de l'Atlantique et a exposé à l'Exposition universelle de Chicago en 1883. Aussi excentriques fut-elle, son talent a été reconnu de son temps. Après la mort de sa compagne, Nathalie Micas, elle a fait la connaissance d'une autre femme qui va entrer dans sa vie, Anna Klumpke, qui était peintre. Elle est frappée par une congestion pulmonaire en 1899. La modernité dans les arts l'ont fait oublier. Cette exposition et celle qui aura bientôt lieu au musée d'Orsay, ainsi que ce catalogue très complet lui permet de reprendre une place dans l'art français du XIXe siècle.
Dans un certain sens, elle a été l'équivalent de sir Edwin Landseer, qui a été le peintre préféré de la reine Victoria. Sans doute n'a-t-elle pas apporté à la peinture de son siècle une métamorphose profonde, mais elle a su exprimer la sensibilité et l'esthétique de cette période en ce qui concerne la Nature et les travaux des champs. Insidieusement, ce qui a été lié au romantisme, puis au réalisme et au naturalisme pour parler de ce que le monde occidental a commencé à placer au second rang. Comme on le sait, cette Nature domestiquée est encore primordiale, mais elle est d'ores et déjà menacée par les progrès rapides de l'industrie.




Cy Twombly, Actes Sud / Les Cahiers de la collection Yvon Lambert, 12 p., 24, 50 euro.

Yvon Lambert a exposé régulièrement les oeuvres du peintre américain Cy Twombly (1920-2011) originaire de la Virginie. Dans ce numéro spécial de sa revue, il lui rend hommage. Il avait commencé à prendre des cours de peinture à l'âge de douze ans dans l'atelier du peintre catalan Pierre Daura. Plus tard, il est allé étudier à l'école du Museum of Fine Arts de Boston entre 1948 et 1949 et à la Washington & Lee University à Lexington les deux années suivantes. Puis il a terminé ses études à New York. Il est allé à la Student Art League. C'est alors qu'il a fait la connaissance de Robert Rauschenberg, qui l'a encouragé à aller au Black Mountain College, où il a étudié avec Robert Motherwell et Franz Kline.
Il y a fait la connaissance de John Cage et du poète Charles Olson. Il a eu, grâce à Motherwell, sa première exposition personnelle à New York en 1951. A ses débuts, il est influencé par le style de Kline. Puis il a été influencé par Paul Klee. L'année d'après, il a obtenu une bourse pour voyager en Europe et en Afrique du Nord. Il a été sous les drapeaux en 1953 comme cryptologue. De retour chez lui, il s'est vite éloigné de l'esprit de l'Ecole de New York et de l'expressionnisme abstrait américain. Il a décidé de s'installer à Rome en 1957. Il va épouser Tatania Franchetti, une jeune artiste, fille du baron Giorgio Franchetti, le plus grand collectionneur d'art moderne de la Ville éternelle. Il a depuis longtemps renversé la logique de ses grands contemporains abstraits.
Si, tout comme eux, il privilégie la gestualité, il a donné un sens particulier à ce choix : il s'est orienté de plus en plus vers l'écriture. Et pas n'importe laquelle : il s'est passionné pour les graffiti antiques qu'il a vu gravés ou dessinés dans les monuments de l'Antiquité. Et puis, dans ses oeuvres, il fait des références à de grands auteurs anciens, comme Virgile ou Apollodore.
Il a aussi exploré le répertoire des dieux païens. Il ne le fait pas par l'iconographie, mais par l'inscription de leurs noms en majuscule. Dans ce volume, on trouve les plus belles manifestations de cette optique si personnelle pendant les années soixante et soixante-dix. Des compositions comme Pan, Apollodoro, Three Dialogues, Artemisia, parmi tant d'autres, ponctuent ce passionnant cheminement qui se prolonge jusqu'au début des années quatre-vingt. Twombly peint relativement peu de tableaux et a souvent préféré s'exprimer sur le papier. Il s'est affirmé comme l'un des meilleurs artistes de la fin du siècle derniers. Ses fleurs (Blooming), hélas, marquent une chute dans son inspiration et aussi dans son sens créatif. Quoi qu'il en soit, ce cahier est un excellent instrument pour découvrir l'un des peintres les plus originaux de sa génération.




Le Grand Chant, Pasolini poète et cinéaste, Hervé Joubert-Laurencin, Editions Macula, 862 p., 49 euro.

Pier Paolo Pasolini (né en 1922 à Bologne - mais il est originaire du Frioul - assassiné à Ostie en 1975). Son a été adulé par ses contemporains comme l'expression la plus pure de l'esprit d'une époque en Italie. « Tuttologo » ( « touche à tout ») -, il a été romancier, poète, essayiste, journaliste, cinéaste, dramaturge, et j'en passe -, il a laissé une empreinte profonde dans la culture de la péninsule (et aussi à l'étranger, comme en France par exemple).. Il a fait de très bonne étude au lycée à Bologne et est entré ensuite à a faculté des Lettres.
Il y crée avec des amis la revue Eredi. Il a écrit une thèse sur l'art italien contemporain sous la direction de Roberto Longhi. Il a écrit déjà un certain nombre de poèmes (il en a écrit ensuite en frioulan), qui le font remarquer pendant la guerre. Quand on suit son parcours, on se rend compte qu'il a su surfer sur les modes qui ont dominé alors, comme le roman néoréaliste, comme son premier ouvrage dans ce genre, Ragazzi di vita, paru en 1958, qui lui a valu un procès dont il est sorti blanchi. Una vita violenta est sorti trois ans plus tard. Dans une préface remarquablement documentée, l'auteur expose quel a été le cheminement de Pasolini au milieu des difficultés qu'il a connues pendant la fin de la guerre et pendant l'après-guerre. Il explique quels ont été ses grandes influences (en particulier Walter Benjamin).
Il parvient aussi à éclairer les liens entre ses poèmes, ses oeuvres romanesques, ses essais (comme Ceneri di Gramsci- Les cendres de Gramsci) et ses projets cinématographiques.
Cette préface est remarquable car on ne se perd pas dans les méandres assez complexes des orientations de ce jeune homme très productif. Il a déjà travaillé pour le cinéma, écrivant des scénarios (dont l'un en collaboration avec Giorgio Bassani, avec qui il a noué une solide amitié). Il ébauche dans ces pages un portrait de cet auteur prolifique et qui n'a jamais cessé de se projeter dans le futur de sa pensée. Aussi, quand il débute son récit biographique, nous découvrons qu'il n'entend pas raconter sa vie d'une manière classique, mais en mettant l'accent sur des moments révélateurs. Par exemple, il insiste sur le fait qu'il ait choisi le dialecte frioulan alors que ce n'est pas sa langue natale (certes, c'est bien sa langue maternelle au sens propre !). C'est pour lui une manière de considérer l'écriture comme un acte dissident. L'auteur parle à son propos de « nomadisme esthétique ».
Il nous enseigne quelle a été l'orientation de sa poésie. Celle-ci finit d'ailleurs par lui valoir d'une réception de la part de quelques écrivains. Mais la presse catholique ne l'épargne toujours pas. Ensuite, il décide de franchir le Rubicon et de se consacrer u cinéma (c'est un domaine qu'il déjà puisqu'il a collaboré à la rédaction de plusieurs scénarios). Son premier film Accatone, est achevé en 1961. Présenté à Venise, il n'est pas bien accueilli. Seules quelques personnes l'apprécient en France. Sans doute la tonalité néoréaliste l'a desservi sans parler de cette fascination pour les faubourgs les plus pauvres et malfamés.
Par la suite, notre auteur détaille toute sa filmographie dans le plus grand détail tout en continuant à insinuer des considérations très pointues sur son oeuvre poétique. Ce livre est indispensable pour tous les admirateurs inconditionnels de Pasolini car cet essai des plus copieux et détaillé révèle non seulement l'histoire de sa création, mais aussi ses présupposés.




La Dernière partie de cartes, Mario Rigoni Stern, traduit de l'italien & préfacé par Marie-Hélène Angelini, « Domaine étranger » Les Belles Lettres, 144 p., 13,90 euro.

Mario Rigoni Stern (1921-2008) est né à Asiago(dans la région de Vicence dans une famille aisée. Il s'est engagé dans l'armée et a choisi le corps des Alpins (c'était un grand amoureux de la montagne). Caporal major, il est envoyé sur le front français en 1940, puis en Albanie et enfin en Russie. Il a été fait prisonnier par les Allemands en 1943 après l'armistice conclue par le roi et le gouvernement Badoglio avec les Alliés, refusant se rejoindre les forces de la Repubblica Sociale Italiana soutenant le régime de Mussolini.
Libéré, S'étant évadé du camp de prisonniers en Prusse orientale, il est rentré à Asiago. Là, il est devenu employé du cadastre. Il a écrit des oeuvres de fiction qui, le plus souvent, souvent de caractère autobiographique. Il a terminé son premier ouvrage, Il sergente nella neve, en 1953. Il a été aussitôt apprécié. Il a publié avec parcimonie, mais chacune de ses oeuvres l'a placé au premier rang de la littérature italienne de son temps. Son Ritorno sul Don fut considéré comme un roman de premier plan : il y raconte, avec sa sobriété légendaire, la terrible bataille combattue par les Italiens en Russie en plein hiver.
Son style concis et limpide n'a fait que renforcer la poésie de son écriture qui a été tout sauf baroque. La Dernière partie de cartes est l'un des derniers livres écrits par Mario Rigoni Sern en 2002. C'est une sorte de compendium de sa vie militaire depuis ses débuts en 1938. C'est aussi un compendium du désastre que les armées fascistes ont connu sur divers front et l'effondrement final en Russie. C'est sans doute un précieux témoignage, mais c'est aussi le récit de ce qu'a pu éprouver un de ces hommes condamnés à faire face à des situations absolument désespérées. Et c'est émouvant sans jamais aucune plainte ni aucune amertume.
Gérard-Georges Lemaire
08-09-2022
 
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Verso n°136

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