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12-06-2025

La chronique de Pierre Corcos
Les rendre visibles...

La chronique de Gérard-Georges Lemaire
Chronique d'un bibliomane mélancolique

La chronique
de Gérard-Georges Lemaire
Chronique d'un bibliomane mélancolique

Sur les traces de Lorca à New York, Santiago Arranz, Colegio de Espana, Cité Universitaire, Paris, 62 p.

De sa récente et belle exposition au Colegio de Espana au sein de la Cité Universitaire de Paris, Santiago Arranz (né en 1959 ndans la région de Huesca) a fait paraître un catalogue qui résume tout le travail qu'il a réalisé à partir du séjour qu'a fait Federico Garcia Lorca à New York entre les deux-guerres. Il a commencé à travailler sur ce thème depuis 2012 et il a effectué deux voyages aux Etats-Unis sur ses traces en 2012 et en 2017. Arranz a toujours aimé partir d'un écrivain pour composer un grand cycle de tableaux.
Quand je l'ai connu, il s'était appliqué à décliner des compositions à partir des Città invisibili (Cittés invisibles) d'Italo Calvino. Il s'est intéressé par la suite à Franz Kafka. Poeta en Nueva York a été composé dans la ville américaine entre 1929 et 1930 (suivi d'un séjour à Cuba), mais n'a paru qu'en 1940, donc après son exécution par les troupes franquistes, chez Norton, aux Etats-Unis, en 1940 dans une édition bilingue. Une autre édition, seulement en espagnol a été publié à peu près à la même date avec des différences notables car les éditeurs sont partis de manuscrits. S'il a souhaité voir tous les lieux que le grand auteur espagnol a connus à New York, il n'a pas désiré faire oeuvre de biographe, mais plutôt de transcrire dans son langage (la peinture, le dessin) les moments les plus forts de sa poésie et de ses pérégrinations dans cette cité extraordinaire. En sorte qu'il s'agit dans toutes ces oeuvres de traduire ce que l'artiste a pu ressentir en lisant ses poèmes, mais aussi en ayant pu voir les endroits que Lorca a visité et a fait apparaître dans ses textes.
S'il s'avère fidèle à ces mois passé outre-Atlantique, il met en exergue des situations découvertes à Harlem voici bien peu, et des découvertes que Lorca a pu faire. Il a été particulièrement été sensible à la vie de la communauté noire sans avoir besoin d'aller dans les Etats du Sud où le racisme était bien pire et toujours vivace après la Guerre de Sécession. Il a aussi mis en avant ses tendances homosexuelles. Il n'a pas cherché à fournir des illustrations à ses poèmes, mais a plutôt développé une poésie plastique à ce qu'il a le plus aimé en le lisant. C'est là une démarche singulière qui célèbre la beauté et la force de l'oeuvre de Lorca, mais aussi la révélation de ce qu'elle a pu lui inspirer quand il a travaillé sur ce thème dans son atelier au coeur des Pyrénées. A mes yeux, Santiago Arranz est sans nul doute l'artiste le plus talentueux de sa génération et aussi le plus original. Il est regrettable qu'il n'ait pas eu encore la reconnaissance qu'il aurait mérité. Il est à noter qu'il a conçu des toiles qui mélangent plusieurs techniques et qui, parfois, sont de nature abstraite, ce qui est nouveau par rapport à son travail précédent.
Cette suite est remarquable car elle nous montre son admirable capacité à donner naissance à des peintures dignes d'admiration, mais aussi de rendre hommage dans une perspective inattendue ce poète talentueux qui est désormais considéré comme l'un des plus important du siècle dernier, et pas seulement dans son pays. La beauté, chez lui, est toujours vivante, mais elle n'est pas suave ou classique. Elle est une recherche où figuration et abstraction sont indissociables et qui faire valoir comment littérature et arts plastiques peuvent se conjuguer sans jamais donner plus de poids à l'un ou à l'autre.




Gli artisti del Grupo degli Otto, Delluupi Arte, Milan.

Je dois avouer très humblement que j'ignorais vraiment tout de ce groupe des Huit. Fondé au début des années cinquante, à l'époque du MAC et à celle du spatialisme de Lucio Fontana, ces jeunes peintres avaient à coeur de rejeter la figuration et aussi de transgresser les poncifs alors en vigueur pour l'art abstrait. En revanche, je connaissais la plupart d'entre eux. A commencer par Afro, qui est le seul à avoir connu une reconnaissance notable aux Etats-Unis. Mais des figures comme Giulio Turcato, Emilio Vedova, Antonio Corpora, pour me limiter à ceux-ci, étaient parvenus à être considérés en Italie comme les artistes majeurs de leur génération. Dommage que l'histoire plus détaillée de ce groupe ne nous soit pas raconté ici, mais ils ont tous, individuellement, fait une carrière remarquable.
Ils représentent aujourd'hui le meilleur de l'abstraction pendant la seconde moitié du XXe siècle. En dépit de leurs styles très différents, on peut tout de même dégager une volonté commune : dépasser les bornes de ce que l'abstraction pouvait alors rechercher. Il y a chez eux une audace et une intention transgressive qui sont remarquables pour l'Italie de l'après-guerre (mettons à part Fontana, qui ne partage que peu de choses avec ses complices spatialistes). Ils ont souhaité briser les frontières qui les enfermaient dans un langage entre l'informel, le tâchisme et l'abstraction lyrique. Par exemple, Vedova a été jusqu'à réaliser ses compositions plastiques par un mélange quoi semble aléatoire de coups de pinceaux de différentes couleurs dont les traces s'enchevêtrent.
Il convient de souligner que les tableaux présentés dans ces salles sont le plus souvent remarquables. Je songe au Chant nocturne n°6 de Santomaso (1960) ou encore La Sauterelle (1963) de Turcato.
La galerie a choisi de préférence d'exposer des oeuvres exceptionnelles et qui se différentient de leur production la plus connue. Ainsi, le visiteur peut faire une double découverte en pouvant comprendre l'orientation de ces huit créateurs, mais aussi d'admirer des pièces rares et particulièrement abouties. Seul Vedova a poursuivi son histoire plastique dans une direction bien définie qui, sans être répétitive, conserve les mêmes principes de base. En sorter que nous pouvons évoluer dans un micro-musée qui surprend quelque soir l'auteur.
Ainsi, L'Image presque renversée (1960) de Mattia Moreni joue sur un registre où des éléments figuratifs sont encore mis en jeu pour aboutir à ce jeu iconoclaste. C'est sans nul doute l'exposition la plus intéressante qui nous a été donné de voir à Milan en ce printemps et ce début d'été. Espérons que cette jeune galerie poursuivra cette recherche qui devrait séduire autant les amateurs les plus avisés que les conservateurs exigeants et pertinents des musées.




Cinéma et modernité (1966-2019), Youssef Ishaghpour, « Art », Exils, 360 p., 29 euro.

Youssef Ishaghpour est né à Téhéran en 1940. Passionné de cinéma très tôt, il est venu s'installer en France en 1958 pour étudier à l'Institut Luis-Lumière puis à l'IDHEC. Il a ensuite étudié à l'Ecole Pratique des Hautes Etudes où il a obtenu son doctorat ès lettres. Il a publié son premier article en 1966 consacré à Josef Losey dans la revue Image et Son en 1966 sous un pseudonyme (Yves Guillaume), ce qu'il a continué à faire souvent. S'il suit de très près l'actualité cinématographique de son époque, il s'est aussi intéressé aux grands classiques d''autrefois, comme Le chanteur de jazz, de Crosland, sorti en salle en 1927, qui a été le premier film sonore.
Il a écrit de longs papiers sur Alain Resnais, sur Francis Ford Coppola, sur Chantal Akerman, sur Wim Wenders, sur Jacques Rivette, pour ne citer qu'eux, il s'est aussi appliqué à écrire sur Orson Welles ou Satajit Ray. Plus que de pures analyses de films réalisés par des cinéastes connus pour l'essentiel, il développe une réflexion approfondie sur ce qui a été autant une industrie qu'un art dans le meilleur des cas.
Par exemple, il embrasse l'ensemble de la carrière d'Andreï Tarkovski, en mettant en avant Andreï Roublev comme son oeuvre la plus emblématique de sa création, qui est d'une modernité incontestable, d'ailleurs assez curieuse à l'époque où il tourne ce grand film, tout en glorifiant le grand passé de la culture russe (tout comme d'ailleurs l'avait fait Sergei Eisenstein, dans son Ivan le Terrible, mais dans une optique assez différente) et en ayant recours à un langage qui était loin du réalisme socialiste et des codes déroutants en Union Soviétique.
Chacun de ses essais est donc un examen de la recherche de tel ou tel créateur, mais aussi une réflexion sur diverses façons d'envisager le cinéma. Si ce volume qui rassemble l'essentiel de ses écrits sur le septième art, il ne faut pas oublier qu'il s'agit ici d'une expérience personnelle qui a duré quarante années et qui ne s'est jamais conçue comme une chronique au jour le jour des nouveautés cinématographiques. En dehors de la manifestation de ses engouements pour des grands auteurs, il est aussi question des modalités d'une écriture qui passe par l'image, le texte, le son et qui inventent le plus souvent un mode de conception d'un récit qui est très éloigné de leurs contemporains.
Sans doute a-t-il été un des meilleurs analystes de ce nouveau moyen d'expression qui peut aller du plus populaire au plus confidentiel. Les plus doués à ses yeux sont en général ceux qui ont été en mesure d'associer les deux extrêmes de ces démarches, comme a pu le faire dans la majorité des cas Frederic Fellini. Mais ce n'est pas toujours le cas quand il parle de Ray, de Tarkovski, de Marguerite Duras (qui n'a connu le succès public qu'avec L'Amant. Alain Robbe-Grillet n'a jamais eu les faveurs ni des critiques ni des spectateurs - seul L'Année dernière à Marienbad a un peu retenu l'attention des uns et des autres. Et cela sans même évoquer la figure de Jean-Luc Godard, loin d'être inconnu, mais qui n'attirait pas un nombre vertigineux de spectateurs, (exception faite, peut-être de Pierrot le fou, où jouait Belmondo). De toute manière, ce n'est pas le succès des cinéastes qui a retenu l'attention de Ishaghpour, mais leur faculté d'imaginer un langage qui soit unique et fascinant. Si Visconti fait partie de ses préférés, François Truffaut semble totalement absent de ses préférés de la Nouvelle Vague, ce qui peut surprendre.
Mais, soulignons-le, l'auteur de ces articles importants n'a pas pris la plus pour faire l'éloge des cinéastes en vogue pendant ces quatre décennies. Il n'a d'ailleurs pas tenu à faire oeuvre d'historien . Il a tenté et, doit-on dire, réussi, a comprendre en quoi un film pouvait apporter une autre dimension à un art qui n'a qu'à peine plus de cent années d'existence. C'est un recueil essentiel pour les amateurs, mais aussi pour tous ceux qui éprouve encore du plaisir à se rendre dans une salle de cinéma. Une dernière chose : tous ces textes sont rédigés dans une optique savante sans nul doute, mais demeurent d'une lecture plaisante. Ils ne sont donc pas réservés aux seuls spécialistes.
Gérard-Georges Lemaire
12-06-2025
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