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08-05-2025

La chronique de Pierre Corcos
De l'absurde à l'engagement

La chronique de Gérard-Georges Lemaire
Chronique d'un bibliomane mélancolique

La chronique
de Gérard-Georges Lemaire
Chronique d'un bibliomane mélancolique

Le Goût des échecs, Aymen Hacen, Mercure de France, 128 p., 9,50 euro.

De tous les jeux de société, le jeu d'échecs est sans doute le plus prisé. On n'ignore pas qu'il a des origines lointaines, mais les historiens sont loin de s'accorder sur ce point car les documents sont rares et contradictoires. Au cours des tous premiers siècles de notre ère, ce jeu savant et fascinant s'est développé dans différentes régions du globe. La Chine, avec le xiangqi, trouverait ses racines dans la région du Fleuve Jaune. Figurent dans des textes très anciens comme le Zhaohun (Le rappel de l'âme), un poème de Song Yu présent dans le Chuci, recueil du IIIe ou IIe siècle avant notre ère, et dans le Shuo yüan du Ier siècle avant notre ère. On ignore cependant de quel jeu il s'agissait vraiment au VIe siècle avant notre ère. Un xiangxi apparaît dans certains livres comme le Xiangjing (Classique du jeu des symboles) attribué à l'empereur Wu (Zhou du Nord). Cet ouvrage a disparu, mais sa préface, écrite par Wang Bao (VIe siècle) nous est parvenue. Il s'agirait d'un jeu à connotation astrologique.Il apparaît dans les écrits de Sen Gru, ministre à l'époque des Tang. C'est le signe que cette pratique s'était déjà bien installée dans les milieux cultivés de l'Empire du Milieu. En Inde, nous pouvons remonter plus loin dans le temps. Dans le Vinayapitaka. Cependant ce n'est pas encore un jeu d'échecs comme nous l'entendons mais d'un jeu de dés sur un plateau dans les épopées classiques comme le Râmâyana, composées avant notre ère, mais il désigne alors un terme militaire s'appliquant à la quadruple constitution de l'armée (infanterie, cavalerie, éléphants et chars). On ignore encore quand les échecs font leur apparition. Il n'est question des échecs que dans le Vâsavadattâ de Subandhu, écrit vers 620. Seul, le Harshacharita, histoire officielle du roi Harsha de Kânnauj, écrite peu après 643 par le poète Bâna. Ce dernier faisait l'éloge de la paix prévalant sous le règne de ce grand roi bouddhiste : « Sous ce monarque, [...] les seuls combats de rois étaient ceux des sculpteurs d'argile ; seules les abeilles se querellaient pour collecter la rosée ; les seuls pieds coupés étaient ceux des mesures, et seulement de l'ashtâpada on pouvait apprendre les positions du chaturanga, on ne coupait pas les membres des condamnés... ». Tout se lit à double sens. Chaturanga renvoie à l'armée quadripartite mais aussi, peut-être, au jeu d'échecs. Cependant, tous les experts ne sont pas convaincus par cette interprétation.
Le jeu d'échecs entre dans l'Histoire au coeur de la Perse-médiévale en opposant déjà deux armées de seize pièces. Trois ouvrages rédigés en pehlevi (moyen persan) montrent que les échecs étaient connus dès l'an 600 en Perse. Le premier est le Wizârîshn î chatrang ud nîhishn î nêw-ardakhshîr (L'Explication du chatrang et l'invention du nard). Écrit vers l'an 600, il décrit l'arrivée des échecs à la cour des empereurs Sassanides avec une ambassade d'un roi de l'Hind (Sind actuel, sur les berges de l'Indus), leur décryptage et l'envoi en retour du Takhteh Nard (un ancêtre du backgammon) au roi indien qui sera incapable de le déchiffrer, et devra se résoudre à verser un tribut au Roi des rois persans. Les détails fournis par ce texte originel ont attiré l'attention des historiens. Les six types de pièces sont déjà nommés et certaines se trouvent grossièrement décrites.
Le deuxième volume, le Kârnâmag î Ardakhshîr î Pâbagân (Le livre de geste d'Ardakhshîr fils de Pâbag), composé sous Khusraw II (590-628) était une épopée à la gloire d'Ardakhshîr, le fondateur de la dynastie. Le troisième, le Khusraw î Kawâdân ud Rêdag (Khusraw fils de Kâwâd et son page), détaillait l'éducation des jeunes princes. Cette littérature-passait en revue les arts en faveur à la cour et le chatr-ang figurait en bonne place dans ce texte, aux côtés du chôbagân (le polo), du dressage de chevaux et du nêw-ardakhshîr (le Takhteh Nard). La littérature qui s'est développée après l'introduction du jeu en Occident au XVIIIe siècle exprime cette même fascination qu'en Orient. On peut découvrir dans ces pages,de La Chanson de Roland à Stefan Zweig Jorge Luis Borges, en passant par Edgar AllanPoe, la passion que les échecs ont pu susciter parmi les écrivains.




Scènes endormies dans la paume de la main, Yôko Ogawa, traduit du japonais par Sophie Refle, Actes Sud, 288 p., 22 euro.

Née en 1962 à Yokayama, Yôko Ogawa a déjà une production littéraire impressionnante (romans, nouvelles, essais) et a reçu de prix prestigieux. Elle est la digne descendante des grands auteurs du siècle précédent, comme Tanizaki, Kawabata ou Mishima. Mais elle ne s'en est pas inspirée, loin s'en faut. Elle n'a pas choisi entre une facture traditionnelle, mais ne s'est pas sentie attirée par un modernisme iconoclaste. Une grande partie de son oeuvre a d'ores et déjà été traduite chez Actes Sud. Elle a reçu des prix prestigieux dans son pays. Cet ouvrage est un recueil de nouvelles. Elles se caractérisent par la limpidité et la pureté de son style Et la richesse de ses inventions. Son imaginaire est foisonnant.
On peut le découvrir dès le premier de ses récits, « Des ailes avec des empreintes de doigts ». Il y est question d'une femme travaillant dans une usine et de sa petite fille qui vient souvent l'attendre dans la remise de l'établissement. Sa patronne lui offre deux billets pour aller assister d'un spectacle de ballet. Il s'agit de La Sylphide de Filippo Taglioni, d'après un conte de Charles Nodier. Ce spectacle les impressionne beaucoup. La gamine éprouve le besoin d'écrire à l'héroïne de ce drame. Longtemps son courrier demeure sans réponse. Et puis, un beau jour, elle reçoit une courte missive qui la fait entrer dans une relation étroite avec la malheureuse. Dans l'atmosphère glauque de l'usine une histoire irréelle prend son essor avec une profonde poésie.
Ce qui frappe, surprend et séduit dans tous ces textes, c'est sa capacité rare de concilier des éléments très secondaire de la vie quotidienne et de l'imaginaire qui demeurent indissociable, sans aucun excès et toujours avec une forme très maîtrisée et fluide. Elle force aussi l'admiration pour sa faculté de conduire le lecteur dans un monde quoi lui est à la fois familier et étranger. Mais jamais elle ne force les portes de l'excès. Cette disposition singulière rend ses nouvelles si plaisantes et si belles en parvenant à les inscrire dans un contexte vernaculaire qui, ailleurs, n'aurait pas le moindre intérêt. Il n'est que de songer à « La Comédienne décorative ». Il y a chaque fois une curieuse synthèse entre les deux faces du miroir de ses fictions qui impliquent un mélange des genres tout en maintenant une forme d'unité à priori inconcevable. Ces qualités insignes en font l'une des grandes femmes de lettres de notre époque. Son originalité va de pair avec un style et une construction subtile qui ne sauraient être comparés à aucun autre de ses contemporains. Enfin, elle a le souci de procurer du plaisir à son lecteur. Elle se plaît à nous narrer ce qui n'est ni une fable, ni une mythologie. L'aventure est à ses yeux de nous placer dans une optique singulière, où le tragique s'introduit en catimini dans la réalité la plus banale, la moins passionnante.
Dans cet entre-deux, elle se révèle capable d'engendrer un univers quotidien qui est soudain submergé par l'irréel et le fantasmatique, sans jamais sortir des limites de qui se joue entre notre expérience la plus commune et celle de nos pensées les plus cachées et profondément enfouies dans nos rêves et nos désirs les plus débridés d'aborder d'autres rives nous autorisant à nous échapper ce qui fait nous jours et nos nuits. C'est là la manifestation d'un talent unique, mais également la manifestation d'une force de caractère qui transgresse les termes classiques du romanesque. Elle ne traite jamais directement des questions graves ou métaphysiques. Mais à travers ses narrations, elle parvient à inscrire en palimpseste ce qui tourmente l'humanité, en évitant néanmoins de donner des leçons.
Gérard-Georges Lemaire
08-05-2025
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