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  [Visuel-News]
16-10-2025

La chronique de Pierre Corcos
Le peintre à succès

La chronique de Gérard-Georges Lemaire
Chronique d'un bibliomane mélancolique

La chronique
de Gérard-Georges Lemaire
Chronique d'un bibliomane mélancolique

Leonora Carrington, sous la direction de Tere Arcq & Carlos Martin, Electa, 40 p., 42 euro.

Leonora Carrington (1917-2011) est née à Clayton Green, dans le Lancashire d'un père industriel. Sa famille l'envoie dans un collège catholique. Dyslexique, elle éprouve des difficultés à suivre les cours qui, par ailleurs, ne l'intéressent guère. Elle est expulsée, comme d'ailleurs des autres institutions où elle est passée. Son caractère rebelle n'a fait qu'envenimer les choses. A l'âge de quinze ans, elle séjourne à Florence et s'inscrit à l'académie artistique de Miss Penrose. Elle se passionne pour la peinture et admire particulièrement Sassetta et Martini. Mais ses parents ne la considèrent pas comme une future artiste et la font rentrer en Angleterre. Elle désire étudier à la Chelsea School of Arts de Londres dirigée par Amédée Ozenfant. Là encore, elle ne fait pas preuve de discipline et d'application.
Elle découvre Les Enfants terribles de Jean Cocteau et décide de les illustrer. Elle exécute alors sa première peinture, le portrait de sa camarade de chambre, Joan Powell. La première exposition surréaliste a lieu dans la capitale britannique en 1936 au sein des New Burlington Galleries. Elle connaît Paul Eluard et sa femme, Nush, et elle est fascinée par un tableau de Max Ernst. Elle fait sa connaissance peu de temps après et en tombe amoureuse. Ils voyagent en Cornouailles. Elle s'installe avec lui à Paris l'année suivante et écrit son premier récit, « La Maison de la peur » qui est illustré de plusieurs collages de Max Ernst. Elle prend part à l'exposition internationale du surréalise qui est ensuite présentée à Amsterdam. Ils décident de s'installer à Saint-Martin d'Ardèche. Elle y écrit plusieurs contes qui plaisent aux amis surréalistes dont Leonor Fini Lee Miller, Roland Penrose. Elle publie La Dame ovale, un recueil de ses textes illustré par Max Ernst. Elle produit bon nombre de nouvelles dont Le Septième cheval et autres contes. Elle peint aussi depuis 1937 et réalise son Autoportrait à l'auberge du Cheval d'Aube (1936-1937) et Femme et oiseau (1937). Elle figure le plus souvent des figures féminines troubles avec des figures masculines ambiguës et des animaux. Le tout est dominé par l'esprit du surréalisme et des sciences occultes. Il en est de même pour ses écrits. Elle peint un portrait de Max Ernst au début de la guerre. Ce dernier est envoyé au camp des Mille.
Elle est arrêtée et placée dans un camp de concentration. Par la suite, elle décide de partir en Espagne. Mais elle est internée dans un hôpital psychiatrique à Santander après une grave dépression. Elle raconte cette expérience traumatisante dans un livre, Down Below, publié aux Etats-Unis en 1944. A Lisbonne, elle rencontre un diplomate de ses connaissance, Renato Leduc, qui l'aide à rejoindre l'Amérique. Elle l'épouse. Mais elle retrouve Max Ernst dans la capitale portugaise et renoue avec lui sans reprendre cependant leurs relations. A New York, elle publie ses oeuvres dans les revues View et VVV. Ses peintures sont présentées dans différents musées américains en 1942. Elle s'installe au Mexique où elle retrouve d'autres surréalistes, dont Benjamin Péret. Elle divorce un an plus tard et se remarie avec un photographe hongrois, Emerico Imri Weisz, dont elle a deux enfants. Son oeuvre picturale a le plus souvent un fond autobiographique. Elle a une importante exposition à New York en 1948 et les galeries mexicaines commencent à s'intéresser à ce qu'elle fait. Elzle réalise les décors et les costumes de La Tempête de William Shakespeare et se voir commander une grande peinture, Le Monde magiques des Mayas pour le musée d'anthropologie de Mexico.
Elle expose à la galerie Pierre de Paris au début des années,80. Puis à l'Istituto Nacvcional de Bellas-Arte et à la Galerie de Arte Mejicano de Mexico. Elle a une rétrospective à au Centrer for Inter-Amercan Relations de New York. Alexander Iolas lui offre une exposition personnelle dans sa galerie new-yorkaise. Elle s'est installée à Chicago quelque temps. Après sa disparition, elle a peu de rétrospectives. L'une d'elle se déroule 2008 à la Maison de l'Amérique Latine à Paris avec un beau catalogue publié par Gallimard. L'actuelle exposition, qui se tient au palais royal de Milan jusqu'au 11 janvier 2026, est bien plus importante. Elle rend vraiment hommage à tout son parcours artistique>. Et le catalogue est très riche, nous faisant découvrir tous les aspects de sa création si singulière. Les organisateurs ont réuni un grand nombre d'oeuvres permettant de se faire une juste idée de sa quête intérieure. Ses tableaux sont plutôt d'une dimension modeste et présente des scènes irréelles avec des personnages zoomorphes. Elle attribue à ses compositions des valeurs ésotérique, avec cependant le souci d'attribuer aux formes et aux couleurs, au-delà de leur valence ésotérique, une charge esthétique non-négligeable. Il n'est pas tout à fait aisé de déchiffrer ces petites pièces théâtrales, mais elles séduisent avant même qu'on les analyse. Son microcosme est quasiment impénétrable, mais il détient le pouvoir de plaire et d'enchanter. Et les essais réunis dans le catalogue permettent de ne pas y perdre pied et d'apprendre beaucoup sur ses visées mystérieuses.




Point de suture, Marina de Van, Abstractions, 160 p., 14, 99 euro.

L'héroïne de ce roman, Gena, a choisi pour profession le maquillage. Mais si elle s'applique avec plaisir à remodeler le visage des personnes qui s'abandonnent à ses soins, qui ne sont qu'une métamorphose de surface, elle n'éprouve pas le besoin d'une transformation de ses traits. Elle ne se plaint pas de ce que la nature lui a offert. Mais un accident survient et son visage est en partie défiguré. Son existence change et sa vision du monde prend un autre aspect. Dès lors, tout est bouleversé et elle a vu émerger un pan obscur et abyssal de sa personnalité qui s'est traduit dans sa chair et qui est flagrant pour tous. Son existence n'est plus la même et elle ne peut plus vivre avec légèreté.
On lui conseille de consulter un chirurgien de toute urgence car la blessure est grave. Elle consulte d'abord une psychothérapeute, Elisabeth pour être en mesure d'affronter cette épreuve. Après quelques séances compliquées, elle doit faire face à l'inexorable, c'est-à-dire l'intervention chirurgicale. Ce qu'elle découvre ensuite lui fait terriblement peur et donc la déroute et lui fait perdre pied. Elle est à telle point choquée qu'elle refuse une seconde intervention sur son nez et elle décide de quitter l'hôpital. Désormais on la regarde dans la rue car elle offre un spectacle digne des gueules cassées de la Grande Guerre. Elle veut accepter ce mauvais coup du sort et cette image qu'elle envoie à autrui et à elle-même. Elle est contrainte à modifier sa perception de ce qui l'entoure, mais aussi de voir les choses en elle sous un autre angle. Elle ressent le besoin de partir et achète un billet pour Singapour. Mais être ailleurs ne la sauve pas de ses mauvais rêves et de son effondrement psychique. Elle finit par ne plus sortir de sa chambre. Elle tente d'échapper au trou du passé et à celui du présent. Mais qu'en est-il du futur ? Elle rentre à Paris avec une adolescente, Maria. Existe-t-elle vraiment alors que son désir sensuel pour son corps a pris des proportions énormes. Elle retrouve sa mère, Monique. Mais ce voyage ne lui permet pas de retrouver un équilibre. C'est la mort qui l'accueille, en vérité ou métaphoriquement. Ce qui fait tout l'intérêt de ce roman, c'est cette ambiguïté permanente entre le réel et l'irréel. Peut-être que cette blessure n'est qu'un prétexte pour faire apparaître ce qui la désespère. Ces pages distillent un étrange parfum mortifère tout en dépeignant sans détour l'obsession de la beauté engendrée par l'artifice.




Art from Inside, Capolavori svelati tra arte e scienza, sous la direction d'Isabella Castiglioni & Stefano Zuffi, Fondazione Bracco, 24Ore cultura, 14440 p.,25 euro.

Cette exposition didactique présentée au Palais Royal de Milan jusqu'au 6 janvier 2026 met en scène les méthodes les plus modernes pour dévoiler les différents moments de la composition d'une oeuvre d'art ancienne. De cette façon, jamais la matérialité de cette création n'est susceptible d'être endommagée par des techniques matérielle. La pédagogie choisie a été de rendre compréhensibles les moyens mis en place pour un tableau en partant d'un agrandissement. Chaque salle contient un ouvrage : premier compartiment de l'armoire des argents, vers 1450, Beato Angelico ; Saint Nicolas de Tolentino, vers 1469, Piero della Francesca ; Portrait d'une jeune femme, 1470-1475, Piero del Pollaiolo ; Vierge à l'Enfant, vers 1490, Giovanni Antonio Boltraffio ; Repos pendant la fuite en Egypte, 1597, Michelangelo Merfisi, dit Il Caravaggio ; La Bonne aventure, 1597, Caravaggio ; Portrait d'Emanuele Filiberto di Savoia,1632-1637, Portrait de Carlo Emanuele I di Savoia, 1632-1637, Giovanna Garzoni ; Petit violon Bracco, Lorenzo Srorioni, 1793. Sans doute n'est-il pas aisé de saisir le cheminement scientifique qui nous est proposé au long de ce parcours.
Voilà pourquoi le catalogue prend toute sa valeur car il détaille toutes les manières de scruter ce que le tableau ne nous dit pas. Il est de plus en plus courant que des exposition de ce genre se développent et permet au néophyte de comprendre comment les spécialistes et restaurateurs opèrent aujourd'hui avec dextérité et surtout l'assurance de ne pas causer de dommages irréparables à l'ouvrage examiné. C'est un peu ingrat, certes, mais c'est tout de même un apprentissage de la notion actuelle de conservation.
Gérard-Georges Lemaire
16-10-2025
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