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09-10-2025

La chronique de Pierre Corcos
Sur le front. À l'arrière.

La chronique de Gérard-Georges Lemaire
Chronique d'un bibliomane mélancolique

La chronique
de Gérard-Georges Lemaire
Chronique d'un bibliomane mélancolique

Appiani il neoclassicismo a Milano, sous la direction de Francesco Leone, Fernando Mazzocca, Domenico Piraina, Electa, 35 euro.

Vue depuis la France, le néoclassicisme italien est incarné par le grand sculpteur Antonio Canova (1757-1822), qui est devenu l'artiste officiel à Paris à l'époque de l'Empire. Tous les artistes qui ont joué un rôle dans cette sphère ont été complètement oubliés. Il faut se souvenir que la figure de Jean Auguste Dominique Ingres est absolument écrasante car il a été incontestablement le plus grande représentant de l'idéal classique en Europe.Et puis ce serait compter sans Jacques-Louis David, dont l'atelier ne désemplissait jamais. La plupart des maîtres de ce courant esthétiques en sont sorti. Andrea Appiani (1754 -1817 - il cesse de travailler en 1813 à cause de graves problèmes de santé) n'est d'ailleurs guère plus apprécié dans son pays d'origine. Fils de médecin, il a pu étudié le dessin dans une école privée dirigée par Carlo Maria Giudici, professeur à l'Accademia Ambrosiana. Appiani s'intéresse aux maîtres lombards du Cinquecento et goûte l'oeuvre de Jules Romain.
L'année suivante, il s'inscrit à l'école du nu de l'Accademia Ambrosiana. Là, il étudie la peinture de Bernardino Luini et sur les copies des cartons du Vatican de Raphaël. Il est aussi confronté aux travaux de Léonard de Vinci et du Corrège. Il est alors très lié au sculpteur Gaetano Monti avec lequel il partage la même conception de l'art. Il suit les cours d'anatomie et fréquente les cours de Guglielmo Patrini et dAbondio Gelodio à l'Ospedale Maggiore de Milan, se plongeant dans la lecture des grands traités sur la question. Pour vivre, il peint des fleurs sur papier ou sur soie. Il a une première commande privée : les Quatre Vertus, peintes à l'huile pour un carrosse destiné à la cour d'Espagne. L'ouverture en 1776 par l'impératrice Marie-Thérèse d'Autriche lui ouvre des perspectives et il parvient à imposer dans sa ville natale le goût du style néoclassique. Puis il a fréquenté les cours de Giuliano Traballesi, où il a rencontré d'autres peintres qui partageaient ses convictions. Il y avait déjà Giuseppe Parini avec lequel Appiani a une relation intense. Les fresques qu'il exécute dans le palais Greppi entre 1778 et 1780 démontrent leur complicité artistique. L'archiduc Ferdinand de Habsbourg est très sensible à la manière d'Appiani et le fait travailler aux décorations du palais ducal.
Il est amené à faire des décors pour la Scala. Il est alors amené à décorer d'autres palais comme le palais Diotti, le palais Orsoni, le palais Litta, ou encore le palais Corio Casati, Castelbarco, le palais Busca Arconati Visconti. Certaines de ces interventions ont survécu malgré les caprices de la mode et les injures du temps, sans oublier les bombardements alliés de 1943. En plus de ces fresques, il réalise des toiles comme l'Histoire d'Europe entre 1784 et 1786 commandée par le marquis de Cislago. Peu après, il achève quatre toiles représentant L'Histoire de Vénus (1785-1790). Il a aussi peint deux toiles figurant l'une Hercule et Iole et l'autre Vénus et Adonis Il se voit alors demandé de réaliser des fresques pour la Villa Reale de Monza. A cette époque, il est désormais en pleine possession de ses moyens. Mais il faut remarquer qu'il manque d'ampleur dans ses compositions et une certaine raideur dans son trait. Ses portraits sont remarquables, mais il leur manque profondeur et esprit. Il est conduit à décorer la salle des cariatides du palais royal de Milan. Et il peint la coupole de Santa Maria près de Celsio entre 1792 et 1793, qui représente les quatre Pères de l'Eglise. Il voyage en 1791 entre Parme et Rome pour étudier les réalisations de ses prédécesseurs, en particulier Le Corrège.
A Rome, il est accueilli avec respect et est reconnu comme le chef de file de cette nouvelle tendance. En 1792, il se consacre aux fresques de San Celsio. L'archiduchesse Maria Beatrice lui demande de peindre l'intérieur de la Rotonde de Monza, en développant la fable de Psyché. Il doit également achever des grands chantiers commencés plus tôt. L'entrée de Napoléon à Milan en 1796 lui offre de nouvelles possibilités. Les Histoires d'Apollon à San Fedele figurent parmi ses nouvelles aventures picturales. Il fait plusieurs portraits de Napoléon, comme président de la République italienne, puis, sacré empereur, comme roi d'Italie. Il fait de nombreux portraits des membres de sa famille (dont Joséphine en 1801) et des hauts fonctionnaires de l'administration française. Nommé commissaire des beaux-arts en 1802, son destin est lié à celui de l'Empire. Il se consacre avec sérieux à cette tâche jusqu'en 1813. Entre autres choses, il contribue à enrichir les collections de la pinacothèque de Brera. Ce que le catalogue nous apprend est quel a été le destin des oeuvres d'Appiani après sa disparition. C'est passionnant car on peut comprendre le temps et les efforts accomplis pour qu'elles puissent intégrer des collections publiques. Malheureusement et de façon inexplicable, Les Fastes de Napoléon n'ont pas été récupérés et restaurés. En somme, si l'exposition permet au visiteur de découvrir une part importante de l'oeuvre de ce peintre si peu considéré jusqu'à aujourd'hui, le catalogue est un document formidable pour comprendre de quelle manière ses créations ont pu être retrouvées et rassemblées pour qu'on en saisisse l'importance.




Scittura di vita, Fernanda Fedi, Quaderni del tipografo.

Fernanda Fedi fait partie de ces artistes qui ont un grand talent, mais qui se sont retrouvés dans les marges du microcosme artistique milanais. Elle mériterait beaucoup mieux car elle possède un grand et bel univers imaginaire. La clef de voûte (en vérité sa clef de sol) est la musique : c'est sa source d'inspiration, autant sur le plan visuel que sur le plan métaphysique. Elle a travaillé dans le sens de la poésie visuelle et concrète, mais sans jamais mettre de côté la peinture, qu'elle soit figurative et surtout abstraite. En somme, son oeuvre se postule entre plusieurs champs de la création plastique contemporaine.
Ce qui frappe le plus dans sa démarche est sans aucun doute d'une part sa poésie, qui est véritablement subtile et plaisante, et, de l'autre, la force sous-jacente de son art. Elle sait à la perfection trouver un équilibre entre ce que la musique lui inspire (et qui se traduit souvent par des fragments de partition, tout autant que dans les harmonies qu'elle engendre avec grâce sur le papier). Cette relation intime et intense avec la composition musicale a pour objet de faire valoir que le dessin, la gravure, la peinture en général peuvent donner lieu à des sentiments et à des sensations qui sont propre à la musique. Elle ne veut pas dépasser cette dernière ou la supplanter par les moyens qui lui sont propres, mais plutôt découvrir une manière de créer qui puissent faire apparaître des similitudes signifiantes et envoûtantes. Elle ne recherche pas des effets. Au contraire. Tout chez elle est traité avec beaucoup de finesse et de délicatesse. Ce qui ne signifie pas que ses ouvrages soient peu expressifs. Ils peuvent même révéler un authentique emportement car elle joue sur tous les registres possibles de l'andante au pianissimo. Mais elle tient tout particulièrement à un équilibre dans le développement de son morceau, qui ne peut aller au-delà d'une certaine mesure. Ce livre ne contient aucun texte, seulement une oeuvre originale. Mais c'est une merveille que de l'ouvrir et de prendre connaissance de ce superbe moment qui transforme sa peinture en un madrigal ou en une très brève sonate qui sont élaborée pour être entendue exclusivement par les yeux. Ce pari fait d'elle une artiste de grande qualité.




Nel segno della scrittura, Gino Gini, 40 p., Heart Book.

Arte, Gino Gini, Quaderni del tipografo.


Gino Gini (né à Milan en 1939). Il a étudié au lycée artistique de Brera puis à l'Academia di Belle Arti. Il a été l'élève de Cantatore. En toute logique, sa première exposition personnelle à lieu dans une nouvelle galerie de Bera en 1958. Il fait partie de ceux qui introduisent en Italie la pratique du Mail Art et présente une exposition de ses expériences en la matière en 1981. Il participe au Colettivo Lavoro Uno dont les travaux sont présentés à la Biennale de Venise de 1976. Il présente une importante exposition au Mercato di Sale de Milan en 1987. Il est présent à l'exposition « Parole Immagine » à Galarate. Première exposition anthologique à la Villa Letizia de Trévise en 2000. Il fonde avec Fernanda Fedi l'Archivio Libri d'Artista en 1983.  Il participe à l'exposition de la bibliothèque d'Alexandrie et en est le commissaire avec Fernanda Fedi de la quatrième édition en 2010. Il expose à de nombreuses reprises dans la galerie de Jean-Paul Aureglia à Nice à partir de l'an 2000. Il fait de nombreuses expositions en Italie et est présenté par la fondation Berardelli de Brescia en 2023.
Evidemment, son parcours est beaucoup riche et nourri. Ce qui a fait la spécificité de sa recherche est quelque chose qui se trouverait entre le dadaïsme et Fluxus, la poésie visuelle et la poésie concrète. Il privilégie les signes de l'écriture dans ses oeuvres, comme, par exemple, récemment, le calendrier qu'il a décliné sous tous les aspects possibles. Il n'a pas de méthode ni de système. Chaque expérience est pour lui une nouvelle aventure où sont insérées, entre autres, des reproductions de tableaux de maîtres d'autrefois. Ces calendriers sont un territoire ludique où il se divertit à à jouer avec les lettres, les chiffres, les mots, avec des écrits manuscrits et d'autres imprimés, et une liberté d'expression sans limite. Gino Gini est passé maître dans la combinaison des signes qui appartiennent à tel ou tel univers. Il tient surtout à mettre en évidence la dimension graphique des outils du langage et s'en sert pour aboutir à une composition qui est un véritable tableau dans un registre qui n'appartient qu'à lui. Gino Gini s'affirme comme un des plus créatifs de ces artistes qui ont renoncé aux formes classiques, mais aussi aux formes modernes, pour aller dans une sphère plastique qui met à l'unisson l'écriture et la peinture. Ses merveilleux calendriers qu'on peut contempler dans ce volume le démontrent amplement.
Gérard-Georges Lemaire
09-10-2025
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